Nikos Aliagas est bourré de talents. Le journaliste franco-grec sait chanter, parler plusieurs langues, interviewer aussi bien un politicien qu'une célébrité et jongle entre la télévision, où il officie depuis 20 ans, la radio et la photographie, son autre passion ! Invité sur le plateau de C à Vous mercredi 15 septembre, le papa d'Agathe et Andréas (9 et 7 ans) s'est confié sur sa longue carrière. Anne-Elisabeth Lemoine a dévoilé des vidéos d'archives montrant Nikos Aliagas à ses débuts à la télévision grecque et française, mais également des secrets bien gardés concernant le journaliste.
Ainsi, l'animatrice de 51 ans a dévoilé les petites habitudes que Nikos Aliagas suit à la lettre avant d'entrer en scène et auxquelles il ne déroge pas. "Vos rituels avant de prendre l'antenne : un caleçon rouge, des bâtons d'encens, de la musique byzantine du XIXe siècle dans la loge et toujours commencer par le pied droit quand on foule un plateau pour la première fois", a énuméré Anne-Elisabeth Lemoine. Une liste qui en dit long sur les croyances de Nikos Aliagas, plutôt superstitieux !
"Le pied gauche porte malheur", affirme le mari de Tina Grigoriou, qui explique que ses pratiques ne font pas toujours le bonheur de ses collègues. "J'écoute toujours de la musique traditionnelle de la Grèce centrale du XIXème siècle, mais elle tape celle-là, c'est du tambourin et une sorte de cornemuse étrange. Mon staff est dépressif depuis !"
Concernant sa pièce fétiche, son caleçon rouge, celui qui animait le télé-crochet Star Academy a confié : "Le caleçon rouge, je l'ai mis une fois alors que ça ne marchait pas avant et puis ça a marché ce jour-là. Ça, c'est le côté pittoresque de la chose mais en réalité j'ai appris un métier".
Fier de ses origines grecques et de son attachement pour la France, Nikos Aliagas a rappelé sa touchante histoire familiale sur le plateau de C à Vous. "Je suis fils d'immigrés, on allait repartir en Grèce. On ne voulait pas déranger. Quand j'ai reçu ma carte de presse, j'ai dit à mon père 'ça y est, je suis journaliste' et il m'a répondu 'tu vas vendre des journaux dans la rue ?' Je n'étais pas prédestiné, je ne connaissais personne".