Julie Jardon et Igor Bogdanoff ont partagé sept ans de vie commune, marquée par quelques épisodes chaotiques ayant notamment impliqué la justice. Très marquée par la mort de son compagnon, survenue le 3 janvier 2022 - six jours après celle de son jumeau Grichka -, la jeune femme a dévoilé un poignant texte hommage auprès de Gala. Elle a aussi accordé quelques confidences à nos confrères.
Présente à l'église de la Madeleine, au bras de Francis Lalanne, pour les obsèques d'Igor et Grichka, Julie Jardon (27 ans) a profité de cette touchante cérémonie pour déposer dans le cercueil d'Igor (72 ans) quelques souvenirs de leur vie à deux. "A l'enterrement, j'ai déposé des photos dans le cercueil. Laisser une trace de ce que nous avons été l'un pour l'autre... pendant sept ans", dit-elle à Gala. Effondrée, la jeune chercheuse en neurosciences et ex-mannequin reconnaît que pour elle "c'est dur" pour le moment, et qu'il lui faudra du temps pour faire son deuil. "J'ai perdu mes repères, j'appréhende le lendemain (...) Je passe des nuits blanches. Je pense à tous ces moments, à tous ces petit déjeuners que je prendrai sans lui. L'avenir me fait un peu peur", ajoute-t-elle.
Julie Jardon et Igor Bogdanoff - qui était le père de six enfants et avait divorcé de sa femme Amélie de Bourbon-Parme -, avaient fait connaissance en 2015. Malgré leur grande différence d'âge et le physique très particulier du défunt scientifique et homme de télévision, la jeune femme avait été rapidement séduite par sa personnalité atypique. "Igor s'exprimait bien, il était très cultivé et moi j'étais impressionnable. En 7 ans, je n'ai jamais évoqué la question de son apparence. Ça lui appartenait. Et si ma mère trouvait pour sa part que c'était une relation trop compliquée à cause de notre différence d'âge, nous avons essayé de faire abstraction. Avec Igor, on a souvent pensé que si nous avions eu le même âge, nous aurions construit une vie ensemble", jure-t-elle.
Les frères Bogdanoff seront inhumés le mercredi 12 janvier 2022 à Saint-Lary, dans le Gers, sur les terres familiales. C'est ici qu'ils possédaient un château dans lequel vit encore aujourd'hui leur demi-frère, le discret François Davant.