Non rien de rien, non P.Diddy ne se reproche rien. Accusé d'être un mauvais payeur, l'incontournable rappeur a tenu à mettre les points sur les i : pour une fois, il est en mesure de montrer patte blanche et surtout de prouver son innocence. Hier, lundi 17 février, le site TMZ révélait en effet que le chanteur, de son vrai nom Sean Combs, avait quelque peu précipité la perte de ses proches, et particulièrement son fils aîné, Justin Dior Combs, et la mère de ce dernier, en ne remboursant pas le prêt qu'il avait souscrit en 2003 pour leur acheter une superbe maison.
Plus de dix ans après, cette sublime propriété, située dans le Westchester dans l'État de New York, est désormais menacée d'être mise aux enchères, et ses occupants, d'être expulsés. En quelques mots, une situation à ne pas prendre à la légère : selon TMZ, il y a trois ans encore, P.Diddy devait pas moins de 622 518 dollars à la banque auprès de laquelle il avait démarché par le passé.
Seulement voilà qu'aujourd'hui, le principal intéressé sort de son silence pour rétablir la vérité. En effet, d'après ses propres confidences, P.Diddy n'y est pour rien dans les soucis financiers de son ex-compagne, la styliste Misa Hylton-Brim, c'est elle et elle seule qui s'est mise dans ce pétrin. Le rappeur ne nie pas avoir emprunté les 712 000 dollars qui ont servi à l'achat de la maison en question, mais il assure que le remboursement de ce dernier revenait ni plus ni moins à Misa Hylton-Brim. Des documents consultés par TMZ le prouvent, les ex-compagnons avaient en effet un accord : P.Diddy aidait Misa à obtenir ce fameux prêt, mais cette dernière s'engageait à le rembourser. Ce que, visiblement, elle n'a pas fait.
Pire encore, d'après les documents en question, le rappeur aurait même couvert son ex à hauteur de 28 000 dollars - une somme importante qu'il lui réclamerait désormais. Car dans cette affaire, la star n'a pas hésité, comme le rapporte TMZ, à poursuivre en justice Misa Hylton-Brim : aussi innocent soit-il, P.Diddy n'est pas si angélique que ça et ne manque jamais de sortir les crocs...