Alors que son nouvel album intitulé Le grand amour, porté par le premier single D'un Ave Maria, doit sortir dans les bacs le 2 décembre, Pascal Obispo enchaîne les rencontres médiatiques pour en parler. Invité de Nikos Aliagas, samedi 30 novembre 2013, dans son émission Les Incontournables, sur Europe 1, il s'est exprimé sur son projet et se pose en artiste à fleur de peau...
Chanteur de l'amour, Pascal Obispo n'écrit jamais ses textes à la légère, prenant toujours soin de se laisser guider par les émotions. "Je me force pas à pleurer (...) Quand je les compose [ses chansons, NDLR], je chiale. Ave Maria j'ai chialé comme tout", a-t-il confié à Nikos. Autant dire que le chanteur de 48 ans est donc un artiste à fleur de peau, habité par l'envie et l'amour que lui portent ses fans. "Le contact avec le public ne m'aide pas à être autrement. Je suis à fleur de peau. Je suis quelqu'un, je crois, ultrasensible. Je ne fonctionne que comme ça. Mon hypersensibilité me permet d'écrire des chansons qui, je crois, touchent les gens", a expliqué Pascal Obispo. Si cette trop grande sensibilité à pu lui "jouer des tours" au cours de ses vingt années de carrière, elle reste un atout pour l'artiste, capable de partager ses émotions avec son public comme lors de sa tournée actuelle intitulée MillésimeS (du nom de son best of).
Ravi de revenir avec un nouvel opus, Pascal Obispo s'apprête également à travailler sur le futur album symphonique du collectif Ensemble contre le sida, prévu pour 2014. Le chanteur a confié être en train d'écrire un single qui réunira la "nouvelle génération" comme Tal ou M. Pokora ainsi que la "plus vieille" génération dont il fait partie.
Thomas Montet