Après le Megxit, le prince Harry s'est retrouvé privé de ressources par Kensington Palace, ne pouvant compter que sur le reste de son héritage de sa mère la princesse Diana et sur ce qu'il avait gagné comme militaire. Alors, pour assurer son train de vie et la sécurité de sa famille, il a accepté des partenariats avec Netflix et Spotify. Désormais, il devient cadre dans une start-up !
Le prince Harry, un travailleur comme les autres ? Oui... et non. Embauché par BetterUp, une start-up basée à San Francisco, il occupera dans l'entreprise spécialisée dans le coaching le poste de responsable en chef de l'impact. Le patron, Alexi Robichaux, a donné des détails sur son prestigieux employé. Ainsi, le contrat du prince se monterait à sept chiffres avec des stock options à la clef - la dernière levée de fonds de BetterUp, en février, a rapporté 125 millions de dollars à la compagnie et la valorisait à 1,7 milliard - et comporte cinq jours de congés personnels plus les congés légaux de deux semaines minimum. De quoi passer du temps avec sa femme Meghan Markle et leur fils Archie. Le couple attend aussi un deuxième enfant.
Le duc de Sussex ne dirigera pas personnellement d'équipe mais devra participer aux événements de l'entreprise et se rendre disponible à l'agence une fois que la pandémie sera passée. Sur place, il pourra profiter de cours de yoga, d'espaces de jeux et de détente, il sera autorisé à venir avec ses chiens et aura l'occasion de se défouler sur un punching-ball... "Il aidera également à travailler sur tous les aspects tels que le design de produits à la création de stratégies en passant par la création de contenus et d'expériences pour nos membres et l'aide à nos partenaires [Hilton, Facebook ou encore Chevron, NDLR] en imaginant de nouveaux contenus pour nos utilisateurs en lien avec la santé mentale", a déclaré le patron selon le Mail Online.
Le prince Harry, âgé de 36 ans, utilise l'application BetterUp depuis janvier et avait entamé des discussions avec la start-up à l'automne dernier après avoir rencontré Alexi Robichaux "via un ami commun." Interrogé par le Wall Street Journal, le petit-fils de la reine Elizabeth II s'est expliqué sur la raison pour laquelle il a accepté ce travail : "J'ai dans l'intention d'aider à créer un vrai impact dans la vie des gens. Avoir un coaching pro-actif cela apporte des possibilités infinies de développement personnel, d'augmentation de sa capacité et une bien meilleure vie." Dans un communiqué, le prince a aussi indiqué que tous les employés de sa fondation Archewell auraient accès aux services de BetterUp.
Thomas Montet