Rachida Dati encore dans la peine, mais Sarkozy compte sur elle plus que jamais
Publié le 14 mars 2012 à 21:40
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Par Sabrina B.
Rachida Dati sur le plateau de la chaîne iTélé le 13 mars 2012
Rachida Dati sur le plateau de la chaîne iTélé le 13 mars 2012
Rachida Dati sur le plateau de la chaîne iTélé le 13 mars 2012
Rachida Dati sur le plateau de la chaîne iTélé le 13 mars 2012
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Rachida Dati a plus que jamais le soutien du président Sarkozy.

Après avoir fait sensation au meeting de Lille, puis à celui de Villepinte , pour soutenir le candidat-président, l'eurodéputée UMP et sa rigueur dans ses missions ont inspiré le locataire de l'Elysée, qui a salué son travail au lieu de s'attarder sur la querelle ouverte qu'elle mène contre François Fillon. L'actuel Premier ministre a été investi pour les législatives dans la 2e circonscription de Paris, qu'elle-même convoitait.

Nicolas Sarkozy a ainsi déclaré que l'ancienne Garde des Sceaux avait "mieux à faire que de critiquer tel ou tel". Et d'ajouter : "Je lui ai dit, j'ai besoin de tout le monde dans la campagne. Elle peut être un symbole et apporter sa force."

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Un joli témoignage que Rachida Dati a dû apprécier à sa juste valeur, malgré ses préoccupations personnelles... Invitée hier soir sur le plateau d'Elysée 2012 sur iTélé, Rachida Dati semblait ailleurs. Et pour cause, son frère Jamal passait devant la cour d'appel de Nancy ce mercredi 13 mars. Et le jugement vient de tomber...

Jamal Dati vient d'écoper de deux ans de prison ferme pour violences et coups de téléphone malveillants à son ex-petite amie et mère de son fils de 5 ans, nous apprend l'AFP. Celui qui a tenté de se suicider en fin d'année dernière s'était vu attribuer 18 mois de prison en première instance, devant le tribunal de Briey.

Jamal Dati, 38 ans, était jugé pour des faits qui se sont déroulés à l'été 2011. Il avait attendu son ex-amie devant son domicile de Verdun et lui avait porté des coups à la tête pour lui dérober son téléphone portable. Jamal Dati avait été relaxé du chef d'accusation d'agression sexuelle (la victime prétendait qu'il l'avait obligée à lui faire une fellation) mais il avait reçu l'obligation de recevoir des soins.

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