Rafael Nadal : Sa belle Xisca enthousiasmée par un nouveau sacre malgré la pluie

Un retour qui force le respect... Après des mois au fond du trou passés à soigner un genou récalcitrant qui l'avait privé de la plupart de la saison 2012, et même des Jeux olympiques de Londres, Rafael Nadal effectue un retour tonitruant au plus haut niveau. Et l'Espagnol vient d'accrocher son second tournoi depuis son retour, en s'imposant à Barcelone. Le tout sous les yeux de sa belle Xisca. Une image désormais habituelle.

Car il fut un temps où la compagne de Rafael Nadal ne se montrait guère. Discrète, la jeune femme que le Majorquin connaît depuis 2005 apparaissait dans les grandes occasions au milieu du clan Nadal. Mais depuis le retour de son homme, Maria Franscesa Perello prend régulièrement place dans les gradins pour applaudir l'Espagnol. Elle était ainsi à Monte-Carlo, où son favori s'est incliné en finale face à Novak Djokovic après huit victoires sur le Rocher. Elle était également présente au début de sa semaine barcelonaise, où Rafael Nadal cherchait une seconde victoire après Indian Wells en début d'année.

Et ce dimanche, l'actuel numéro 5 mondial a décroché sa 8e victoire sur la terre barcelonaise. Un nouveau record qui s'ajoute à ses huit victoires à Monte-Carlo et ses sept à Roland-Garros, qui pourraient bien devenir huit si d'ordinaire Rafa Nadal devait s'imposer porte d'Auteuil dans quelques semaines. En finale, entre les gouttes et face aux rafales de vent, l'Espagnol s'est imposé face à son compatriote Nicolas Almagro (6-4, 6-3). Pourtant, la finale aurait bien pu ne jamais avoir lieu, avec 11 °C affichés à 16h et une pluie battante. Les parapluies étaient de sortie, et Xisca s'était réfugiée avec la soeur et la maman de son champion sous l'un d'eux, quand ce n'était pas sous une serviette, avant d'encourager avec le sourire son beau compagnon.

Et visiblement, son soutien affiché a été utile. Une finale victorieuse, une de plus, sous les yeux de sa moitié, pas peu fière et amoureuse. Avec un soutien comme celui-là, on comprend aisément le retour au premier plan de l'ancien numéro un mondial...