Jusqu'à quand la mode du "swatting" va-t-elle durer ? C'est probablement ce que se demande l'unité d'élite du SWAT (acronyme pour Special Weapons And Tactics) qui n'en finit plus d'être appelée par des anonymes pour des interventions, inutiles, sur des propriétés de stars. La dernière victime est la chanteuse Rihanna.
Jeudi 4 avril, la police a débarqué en quatrième vitesse devant la résidence de Rihanna, située dans le quartier de Pacific Palisades à Los Angeles, après avoir reçu un coup de téléphone révélant la présence de deux hommes armés à l'intérieur de la maison et évoquant même le fait qu'un coup de feu avait été tiré. Sur place, les experts du SWAT se sont vite rendu compte qu'ils avaient, une fois encore, été roulés dans la farine. Une habitude dont ils aimeraient probablement se passer puisqu'ils avaient déjà dû intervenir, pour rien, dans la maison du rappeur P. Diddy le 3 avril.
Alors que le "Swatting", qui consiste à signaler à la police une fausse intrusion dans une maison de star, bat son plein à Hollywood, de nouvelles informations viennent d'être mises en lumière. Selon nos confrères de TMZ.com les hackers qui s'en étaient pris à des stars comme Britney Spears ou Kim Kardashian, et plus récemment Angelina Jolie et Lady Gaga, ont affirmé être à l'origine de ces coups de téléphone. Il y a quelques mois, c'était un très jeune homme de 12 ans qui avait été condamné pour avoir lui aussi succombé au swatting comptant parmi ses victimes Ashton Kutcher.
Rihanna est en actuellement en pleine tournée mondiale avec le Diamonds World Tour.
Thomas Montet