Romane Bohringer : Maman comblée, qui embrasse son fils Raoul sur la bouche

C'est l'amour inconditionnel. Le confinement imposé par le gouvernement pour éviter la propagation du Covid-19, Romane Bohringer le passe avec ses deux enfants, Rose et Raoul. Sur les réseaux sociaux, la comédienne de 46 ans documente ce quotidien pas comme les autres, des devoirs à domicile aux coiffures et coups de ciseaux improvisés. Folle de son fils et de sa fille, elle a partagé une photographie sur Instagram, le 10 avril 2020, sur laquelle elle embrasse son petit dernier sur la bouche. Trop mignon.

Romane Bohringer a deux enfants, Rose – 11 ans – et Raoul – 8 ans. Tous deux sont les fruits des amours de l'actrice avec Philippe Rebbot, qu'elle a rencontré en 2004 sur le tournage du téléfilm Le Triporteur de Belleville – il était assistant régisseur adjoint sur le projet. Après avoir pris la décision de se séparer, les deux complices ont mis en place une configuration familiale assez inédite puisqu'ils continuent à vivre sous le même toit, mais dans deux espaces séparés. Cette histoire, ils la racontaient ensemble dans le film L'amour flou. Et c'est pourquoi, contre vents et marées, le confinement se fait à quatre.

"C'est magnifique, expliquait-elle dans le magazine Gala. Je me demande si on pourra faire autrement maintenant. Ça comporte quelques difficultés. Cependant, ce n'est rien comparé aux choses merveilleuses qu'apporte cette expérience. Pour l'instant, ce qu'on voulait, c'était préserver la douceur autour de nos enfants. Et ça marche." Pour tout ce qui est vie privée, évidemment, c'est plus épineux. Et pourtant : toujours très complices, les deux ex sont aux premières loges pour valider, ou non, un nouveau partenaire : "Ça peut être compliqué de dire à quelqu'un : 'Je te préviens, j'habite dans un endroit où, à quelques mètres, il y a le père de mes enfants.' Mais on se rend compte qu'il y a des gens qui sont partants pour tenter l'aventure. Après, si ça se trouve, dans un an, Philippe ou moi rencontrerons quelqu'un qui n'acceptera pas cette façon de vivre. Alors on changera." Pour ça, il faudra attendre, quoi qu'il arrive, la fin du confinement.