S'il y en a un qu'on ne peut pas accuser de gâcher sa célébrité soudaine, c'est bien Simon Leviev ! Sous le feu des projecteurs depuis le documentaire Netflix L'Arnaqueur de Tinder, qui raconte comment il a escroqué de nombreuses femmes pour vivre une vie de rêve, le trentenaire israélien semble n'avoir aucun remord. Pire : il continue de gagner des sommes astronomiques !
En effet, selon Page Six, il demande désormais plus de 20 000 dollars pour faire des apparitions en boîte de nuit. Il propose d'ailleurs de se déplacer dans le monde entier, de Boston à Mexico en passant par l'Allemagne. Outre cet argent, il demanderait à voyager en jet privé, à être logé dans des hôtels cinq étoiles, à avoir un SUV noir et deux gardes du corps à temps plein.
On ne sait pas encore si certains clubs se sont soumis à ces exigences démesurées, mais il semble en tout cas bien décidé à se faire pas mal d'argent. Et il en a besoin : on l'a vu ces dernières semaines sur Instagram en train de choisir sa nouvelle Ferrari dans l'une des boutiques de luxe de Tel Aviv... Alors que certaines de ses victimes (bien sûr, il nie tout en bloc) payent encore des sommes folles pour rembourser ses arnaques, lui n'a aucun problème à afficher tant de richesse. Plus encore : capitalisant sur cette soudaine notoriété, il a engagé Gina Rodriguez, l'une des agentes les plus influentes d'Hollywood.
Ses projets ne s'arrêtent pas là, puisqu'il a décidé d'organiser un genre de Bachelor aux Etats-Unis, dans lequel des femmes se battraient pour être avec lui. Il est pourtant en couple avec l'une de ses compatriotes mannequins ! Il voudrait également lancer un podcast d'aide aux jeunes voulant trouver l'amour sur les réseaux sociaux, pour leur expliquer ce qu'il faut faire ou pas. Une chose est sûre, la honte ne passe pas par lui !
Dénoncé par trois victimes dans le documentaire, dont Pernilla Sjöholm, qui dit de lui que c'est un "psychopathe sans sentiments", il a été brièvement arrêté et placé en prison dans son pays d'origine, l'Israël. Cependant, la justice l'a rapidement libéré et ne lui a jamais demandé de régler ses comptes avec ses victimes.