Bientôt l'heure des festivités, et l'infante Cristina d'Espagne , son athlétique époux Iñaki Urdangarin et leurs quatre enfants sont fin prêts...
Au préalable, la fille cadette du couple royal s'acquitte de dernières missions avant la trêve. Après avoir participé, très élégante, le mois dernier à une conférence sur l'enfance en danger organisée par la reine Paola de Belgique au château de Laeken, à Bruxelles, on la voyait notamment, le 2 décembre, faire équipe avec l'ancienne présidente irlandaise et ancienne Haut-Commissaire des Nations-Unies aux Droits de l'Homme Mary Robinson. En sa qualité de directrice de la branche internationale de la Fondation La Caixa, Cristina d'Espagne renouvelait l'engagement de l'établissement bancaire à, par le biais de la fondation qui porte son nom, lutter contre la mortalité infantile.
Une volonté appuyée par une donation de 3 millions d'euros à l'organisation GAVI, dirigée par Mary Robinson, afin de financer des vaccins pour les enfants menacés. Cette nouvelle enveloppe porte la contribution en la matière de La Caixa à 11 millions d'euros, ce qui a déjà permis de sauver plus d'1,2 million d'enfants dans le monde.
A la faveur d'un programme aussi fructueux, l'infante Cristina ne peut que formuler des voeux pleins d'optimisme pour l'année 2011, et cela tombe bien : les cartes de la famille royale sont déjà prêtes, vous pouvez en découvrir les messages ci-dessus !
Comme il est de tradition, les enfants s'y affichent avec bonne humeur, grandissant d'année en année : sur l'une des cartes de voeux, on apprécie la complicité tendre des deux fillettes de Felipe et Letizia d'Espagne : Leonor, 5 ans, et Sofia, 3 ans. Sur une autre, on retrouve l'aînée de la fratrie l'infante Elena, entourée de ses enfants Felipe, 12 ans, et Victoria, 10 ans, en combinaison de ski puisqu'ils raffolent des pistes. Enfin, le clan des enfants de Cristina s'affiche au complet : à côté d'Irene, la benjamine de 5 ans, les garçons Miguel, 8 ans, Pablo, 10 ans, et Juan Valentin, 11 ans, font de parfaits gentilshommes !
G.J.