Elle a beau avoir rétrogradé au onzième rang dans l'ordre de succession au trône britannique occupé par sa grand-mère Elizabeth II, Lady Louise Windsor porte bien la couronne ; son petit frère James, vicomte Severn, porte quant à lui bien le costume...
Quelques jours après avoir pris part à la grande réunion de famille du traditionnel repas de Noël organisé à Buckingham Palace par la monarque, le prince Edward, benjamin des quatre enfants du couple royal, et son épouse la comtesse Sophie de Wessex ont profité d'autres festivités au cours du week-end : le couple a emmené samedi 19 décembre ses deux enfants aux courses de Noël à l'hippodrome d'Ascot, si fréquenté par la famille royale, quasi unanimement éprise des disciplines équestres. Avant de mettre le cap sur Sandringham, dans le Norfolk, pour les habituelles célébrations privées prévues par la reine et son mari, le quatuor a bien profité de ces moments en comité restreint et en toute élégance : auprès du comte, en costume rayé gris (et cravate dans l'esprit de Noël !), et de la comtesse, couverte d'un long manteau camel, Louise, 12 ans, arborait un manteau indigo bien boutonné sur une robe grise et un haut blanc à col polo et manches longues, tandis que James, 8 ans, était parfait en veste de costume en tweed gris, chemise à carreaux bleue et cravate contrastante.
Lady Louise, dont le strabisme de naissance a été corrigé chirurgicalement, a même ajouté un accessoire inattendu : on a pu la voir, debout dans la loge royale, où la petite famille était entourée de proches (dont Christopher Rhys-Jones, père de Sophie), affublée d'une couronne en papier ! On a surtout pu observer combien cette passionnée d'équitation, comme sa grand-mère, était captivée par les courses. De fait, la comtesse Sophie s'est essentiellement occupée du vicomte James : il semblerait même qu'il ait fallu, à un moment donné, lui remonter un peu les bretelles comme l'a remarqué le Daily Mail, alors que mère et fils traversaient la pelouse de l'hippodrome. Une réprimande de rien du tout, puisqu'à un autre instant, on pouvait s'attendrir en les regardant en plein bisou-esquimau.