Sophie Marceau et la fusillade d'Orlando : Elle crée la controverse...

Ce dimanche 12 juin, l'effroi a frappé le monde entier. Un premier bilan du massacre dans un club gay d'Orlando, la pire fusillade de l'histoire des Etats-Unis, faisait état de 50 morts. Il a été depuis révisé à 49 morts. L'assaillant a également été tué. L'indignation est mondiale face à ce crime. L'auteur de la fusillade a été identifié comme Omar Seddique Mateen, un citoyen américain d'origine afghane, né en 1986, selon des chaînes de télévision. Il aurait prêté allégeance au groupe jihadiste Etat islamique juste avant la tuerie. Parmi les réactions des personnalités du monde entier, celle de l'actrice Sophie Marceau provoque la controverse.

Sur son compte Twitter, la star française de 49 ans qui prépare actuellement la sortie du film La Taularde a écrit en réaction de la fusillade : "#Orlando : quand on a une arme on s'en sert, quand on en a pas on ne s'en sert pas... !"

Des propos qui n'ont pas fait l'unanimité. Et si elle est l'une des comédiennes chouchous des Français depuis plus de trente ans, elle n'a pas été épargnée sur les réseaux sociaux.

Se distinguent donc deux camps, ceux qui pensent que Sophie Marceau a tout faux en pensant que réglementer le port d'armes aux Etats-Unis aurait permis d'éviter cette tragédie car il y en a bien dans d'autres pays où les armes ne circulent pas librement. Et ceux qui pensent, comme l'héroïne de LOL que si les armes n'étaient pas en accès aussi faciles, on ne les utiliserait pas ainsi. Malgré l'avalanche de tweets qui remettent en cause sa réflexion, Sophie Marceau a choisi de ne pas le retirer. Comme toujours, elle assume ce qu'elle dit et écrit. On attend désormais sa réaction.

Coïncidence, celui qu'elle avait qualifié de goujat au moment de sa rupture avec Valérie Trierweiler, le président de la République François Hollande, a lui aussi fait polémique à cause d'un tweet, mais pour une autre raison. La mention "choisir son orientation sexuelle" a créé la controverse, jusqu'à ce que le tweet soit retiré et reformulé, discrètement, en "la liberté de vivre son orientation sexuelle"..