Elle fait partie des femmes les plus populaires de France, internationalement (re)connue, influente et talentueuse. Qui mieux que Sophie Marceau pour donner de la voix en ce 8 mars, Journée internationale des droits des femmes.
La star de 50 ans, féministe assumée et militante, a publié sur Instagram ce mercredi une vidéo où, pour la bonne cause, elle essaie plusieurs robes glamour, tantôt élégantes, tantôt sexy, et prend la pose dans un escalier. En légende, elle justifie cette minividéo : "Quelle est la plus belle qualité d un homme ?... Sa femme !!? Hommage à toutes les femmes du monde ? Soyons solidaires et déterminées à faire respecter notre droit à la dignité et au respect. (y a encore du taff..!) La plus belle journée de l'année ? Vive les femmes."
Un propos qui fait écho à plusieurs déclarations faites par notre actrice déterminée. "On doit être des citoyennes, des mères, des artistes, des amantes parfaites : à un moment donné, ne pas atteindre cet idéal crée une angoisse, déclarait-elle notamment à Elle en 2010. Les femmes sont extrêmement exigeantes avec elles-mêmes et avec les autres. Au point d'être perfectionnistes, et je pense que ça peut se retourner contre elles. Il faut apprendre à lâcher un peu, mais, bien sûr, ni sur nos droits ni sur les questions de société. Ce souci de perfection, c'est pénible, on devrait parler de la pénibilité d'être femme !"
Plus récemment, la star révélée par La Boum en 1980 avait affiché ses convictions sur BFM. "Je suis féministe. Je défends les femmes. Mais si les femmes ont envie de s'habiller pour aller sur la plage, qu'elles le fassent. Il faut pouvoir faire ce qu'on a envie de faire sans déranger l'autre", avait-elle déclaré alors qu'elle assurait la promotion de Taularde, son dernier film. L'actrice avait également pris position en faveur de Jacqueline Sauvage, emprisonnée pour avoir tué son mari qui la battait et violait ses filles. "Encore une fois, le sort des femmes est non reconnu par la justice", avait estimé l'actrice en août dernier, déplorant que le droit des femmes ne soit pas autant "respecté" que celui des hommes.