La bataille fait rage entre Stephanie March et son futur ex-mari, Bobby Flay.
Il y a quelques mois, l'actrice américaine de 40 ans a demandé le divorce au célèbre chef américain de 50 ans. Les choses se sont compliquées quand l'actrice de New York, Unité spéciale a contesté le contrat de mariage conclu lors des noces. L'arrangement financier prévoit une prestation compensatoire à hauteur de 5000 euros par mois pendant cinq ans au bénéfice de la comédienne, tandis que son mari se voit offrir la possibilité de racheter pour un petit million de dollars le domicile new-yorkais du couple estimé à près de 8 millions de dollars.
Un accord qui ne joue pas en sa faveur et que Stephanie March a bien l'intention de faire annuler. L'actrice a d'abord joué sur la corde sensible, accusant son mari de l'avoir trompée avec son assistante personnelle, âgée de 28 ans. Puis elle s'est accordé tout le mérite de la réussite de Bobby Flay, assurant que c'est grâce à elle s'il a réussi à construire un tel empire.
Bien décidée à enfoncer le clou, Stephanie March vient une nouvelle fois d'avoir recours à la justice pour montrer que Bobby Flay est un vrai pingre. Le site américain TMZ nous apprend aujourd'hui qu'elle reproche à l'Iron Chef de lui avoir offert un cheval de course pour leur quatrième anniversaire de mariage, dont il s'est approprié tous les bénéfices financiers. Le canasson, Dad's Crazy, aurait rapporté pas moins de 130 000 dollars aux courses, avant d'être finalement revendu pour la modique somme de 60 000 dollars. Autant d'argent dont elle n'a pas vu la couleur.
Bobby Flay, de son côté, a répondu aux accusations de sa femme, qui le rend responsable de ses problèmes médicaux, à savoir trois infections et une rupture de l'appendice. De quoi empêcher la jeune femme de travailler... Manque de bol, Bobby a précisé que ces dommages résultaient directement... de l'augmentation mammaire à laquelle elle avait eu recours pour satisfaire ses problèmes d'ego. Victime de sa propre vanité, pas sûr que Stephanie March parvienne à se mettre le juge dans la poche avec de tels arguments.
Coline Chavaroche