Le retour musical de Stromae n'a pas de date, mais tient en haleine des millions de fans ! En attendant, l'artiste poursuit sa vie à l'écart du show-business. Son épouse Coralie Barbier en partage d'adorables images sur les réseaux sociaux, et y a publié une photo rare de leur fils de 2 ans.
À quoi ressemble l'été de Stromae ? Son épouse et bras droit Coralie Barbier en donne un aperçu à ses près de 36 000 abonnés Instagram. La jeune femme y a publié de nouveaux clichés ce dimanche 8 août 2021. Son fils de 2 ans (il en aura 3 le 28 septembre 2021) apparaît sur une des images.
Vêtu d'un bob et d'un short de bain vert et imprimé de bananes, le petit garçon arrose des plantes avec son arrosoir pour enfant. En plus d'une fibre artistique que ses parents lui ont transmise, le blondinet se découvre la main verte !
Ce jeune homme, dont le prénom reste inconnu, est né le 23 septembre 2018. Il est le premier enfant de Stromae (de son vrai nom Paul Van Haver) et son épouse Coralie Barbier. Les deux créateurs de la marque Mosaert se sont rencontrés en 2012, par l'intermédiaire d'un ami commun. Avant de devenir son épouse, Coralie était d'abord la styliste/costumière de Stromae.
"Paul voulait son propre vestiaire, il aimait le wax africain. Je lui ai proposé de créer le sien personnalisé aux paroles de ses chansons", confiait-elle à Libération en mars 2016. Leur relation professionnelle a pris un virage amoureux, jusqu'à leur mariage le 12 décembre 2015.
Toujours sur Instagram, Coralie Barbier permet aux internautes de suivre l'évolution de Mosaert. En avril dernier, la marque de vêtements a dévoilé sa collaboration avec le constructeur Mini. Stromae et son épouse étaient les directeurs artistiques de la campagne.
Côté musique, Stromae a laissé entendre qu'il ferait son retour avec un nouvel album, objet de convoitise de deux grands labels. Le chanteur ne se laisse pas emporter par l'attente du public : "Un album arrivera à un moment donné mais je n'ai pas vraiment de date... Même si j'avais été sous un contrat d'artiste, on n'aurait pas pu m'obliger. Soit j'aurais trouvé un subterfuge, soit j'aurais sorti un album tout pourri, sans en avoir rien à foutre... Plein d'artistes font ça", assurait-il à Libération en novembre dernier.