Sylvie Testud : Appartement près du Louvre, longère sur l'île d'Oléron... l'actrice accro aux achats immobiliers

Ce lundi 28 octobre à 21h05, France 2 diffuse la deuxième partie du feuilleton Sur la dalle, où l'actrice Sylvie Testud (lauréate du césar du meilleur espoir féminin en 2001 pour Les Blessures assassines, et du césar de la meilleure actrice dans Stupeur et Tremblements en 2004) tient un rôle. Pour ceux qui aimeraient en apprendre davantage sur la comédienne (qui est aussi réalisatrice), c'est donc le moment !

Et pour ce faire, intéressons-nous à cet entretien qu'elle accordait à nos confrères du Monde en décembre 2023. Une interview qui s'était déroulée au café Marly, situé juste en face du Musée du Louvre. De quoi arranger Sylvie Testud, qui habite juste à côté ! "Je vis avec la Joconde", avait-elle plaisanté, elle qui partage son appartement avec Eric Elmosnino, son compagnon depuis quelques années déjà.

Elle est rejointe chez elle une semaine sur deux par sa fille Esther, née d'une précédente relation. Elle a également un fils, Ruben, qui lui est en école de commerce à Lyon, la ville d'origine de sa mère où elle n'envisage de revenir vivre pour rien au monde. Car elle aime beaucoup trop Paris, "cette ville bâtie comme une succession de petits villages accrochés les uns aux autres, où l'on peut marcher des heures et se gaver de culture".

Elle quitte en revanche volontiers la capitale pour se réfugier à l'île d'Oléron, où elle a conservé sa longère achetée il y a une vingtaine d'années. Une prouesse pour celle qui a déjà déménagé 16 fois : "J'achète, je loue, je revends, ça m'angoisse quand les choses sont trop figées. Une fois que tout est prêt, que les travaux sont terminés, je commence à étouffer."

Evitez-donc d'employer le mot "routine" en sa présence : "On ne choisit pas le métier d'acteur pour être la même personne du début à la fin de sa vie, mais pour avancer. Je déteste la phrase 'c'est calme.'" Mais à l'île d'Oléron, elle s'y sent bien, et n'a donc pas envie de se séparer de son bien là-bas. C'est un peu "la maison de famille qu'elle n'a pas eue", comme l'écrivaient nos confrères.