Lors d'une interview accordée au magazine Télé-Loisirs, Karine Le Marchand a évoqué le destin particulier de Thierry, viticulteur de 65 ans, bien connu des téléspectateurs de L'amour est dans le pré. Le touchant candidat notamment rendu célèbre pour sa réplique "Coquin de sort", a eu le coeur brisé par sa prétendante Annick. Un ancien mannequin qui aime s'afficher très sensuelle sur les réseaux sociaux qui tout fait pour le séduire avant de le planter, ce qui a plongé Thierry dans une dépression qui lui a fait perdre 20 kilos. Mais M6 et l'animatrice qui ont toujours soutenu le participant, ont souhaité lui donner une nouvelle chance de trouver l'amour. Il participe donc à la nouvelle saison d'ADP qui débute ce lundi.
"La production et moi sommes restées très liées à lui. Il avait beaucoup touché les téléspectateurs. Tout le monde était triste de le laisser sur une déconvenue. C'est comme si on lui avait volé sa saison. Nous avions envie de réparer cela. Peut-être aussi qu'on a culpabilisé en nous disant qu'on aurait peut-être dû plus enquêter sur sa prétendante", confie Karine Le Marchand. Et Thierry a été très bien accompagné lorsqu'il a plongé. C'est d'ailleurs une psychologue, fournie par la production, qui l'a aidé. "On l'a guidé essentiellement avant de valider sa participation. L'an dernier, on avait évoqué avec la production l'idée de le reprendre mais Thierry devait être opéré de la hanche. Et surtout, il n'avait pas encore fait son cheminement. Il a effectué une mue pendant de longs mois avec la psychologue de l'émission, qui nous a en suite informés quand il était prêt. Il a intégré des choses, changé ses attentes. Finalement c'est quelqu'un de neuf", lâche la belle animatrice.
Et en effet Thierry a revu ses exigences. Il a d'ailleurs demandé à la production ce que les photos soient séparées des lettres avant l'ouverture du courrier. "Je n'ai pas voulu voir les photos parce que, cette fois-ci, je n'ai pas voulu voir à l'éblouissement. En lisant les lettres et en regardant les photos, je me suis trompé deux fois par le passé", avait-il confié à ces mêmes confrères.
On espère donc pour lui que celle-là sera la bonne comme on dit pour notre cher viticulteur.