Usain Bolt sort son autobiographie, Faster than lightning... L'occasion pour la star jamaïcaine de parcourir l'Europe. Après Londres, c'est à Paris qu'il a fait escale avant de s'envoler pour l'Allemagne où il a pu découvrir les joies locales. Au menu : pintes de bière et culottes de cuir.
Événement incontournable de cette fin de septembre, l'Oktoberfest est l'occasion de voir les célébrités porter des vêtements ridicules, de faire semblant d'apprécier le folklore tout en descendant pintes de bières accompagnées de quelques choucroutes et charcuteries bavaroises. Si Boris Becker ne raterait cela pour rien au monde, Usain Bolt a lui aussi goûté aux joies de la fête de la bière. L'homme le plus rapide de l'histoire, recordman mondial du 100 et 200 m, avait comme tout le monde passé la traditionnelle culotte de cuir et la chemise à carreaux, sans oublier le chapeau bavarois. Et celui qui a pour habitude de parader en short et débardeur était ravi de son accoutrement et des deux créatures distinguées qui l'accompagnaient, deux Bavaroises au décolleté plongeant typique des dirndl de l'Oktoberfest...
Usain Bolt a donc préparé sa saison de la plus belle des manières. Quelques jours auparavant, c'est à Paris que le sextuple champion olympique avait posé ses valises. Entre deux opérations promo, il a pris la direction de la Concorde pour une séance tournage. L'idée était de réaliser un clip pour Gucci à l'occasion de l'ouverture prochaine d'un magasin de la marque. Mais le sprinteur a rapidement été harcelé par de jeunes mariés venus prendre des photos face à la célèbre Obélisque, faisant une légère entorse à leur programme. De quoi ravir le Roi Usain, toujours ravi de satisfaire ses fans.
Puis l'homme s'est prêté à une petite pastille pour le Grand Journal et son invité Tony Parker, en hommage à son titre de champion d'Europe fraîchement décroché. Il a enchaîné les tirs de loin sur l'Obélisque en prenant pour cible un panneau virtuel, enchaînant les paniers, eux aussi virtuels. De quoi donner une petite leçon à Tony Parker, dont l'adresse à longue distance laisse à désirer, et lui laissant un petit message : "Si t'as besoin d'un tuyau, viens me chercher !"
A Munich, autour d'une bonne pinte.