Valérie Bonneton, séparée de François Cluzet : "Je profite de mon célibat" !

Valérie Bonneton, connue pour ses seconds rôles, a fait exploser tout son talent dans la série Fais pas ci, fais pas ça (France 2), et dans le carton de Guillaume Canet Les Petits Mouchoirs, aux côtés de son ancien compagnon François Cluzet (père de ses deux enfants).

Interrogée par Version Femina (Le Journal du Dimanche), la comédienne, à l'affiche actuellement de la pièce de théâtre L'amour, la mort, les fringues, est ravie de l'élan positif qu'ont procuré ses dernières prestations à l'écran. "Malgré tout, j'ai envie d'y aller mollo. Je ne tiens pas à en profiter pour faire n'importe quoi. J'ai eu des propositions de tournage mais qui ne m'emballaient pas, alors j'attends", a-t-elle confié avec prudence.

Celle qui sera prochainement à l'affiche du long métrage Qui a envie d'être aimé ?, aux côtés d'Eric Caravaca, et de Benjamin Biolay, a évoqué son parcours : "Quand j'étais très jeune, je rêvais d'être une grande actrice, pas une vedette. Après mon bac, j'ai quitté le Nord et je me suis inscrite au cours Florent. C'est fou comme, à 18 ans, on ne se pose aucune question. Mes parents ne pouvaient pas trop m'aider à l'époque, mais j'ai trouvé une chambre à Paris en échange de services. J'ai payé mes cours, le Conservatoire, seule, en faisant des petits boulots. Je m'amusais énormément et j'avais 200 % confiance en moi !"

Celle qui se considère comme une maman "attentionnée" avec Joseph, 9 ans, Marguerite, 4 ans, est actuellement seule et le vit bien : "Je suis célibataire et je profite à plein de mon célibat, c'est bien."

Pour conclure, Valérie, artistiquement sur tous les fronts, a dévoilé la vision de son succès : "Il faut faire confiance à la vie. Il y a un temps pour chaque chose. La vie est bien faite quand même. Elle n'est pas si mal ! Je me demande aussi si ce qui m'arrive n'est pas lié à l'âge. D'un seul coup, je suis peut-être davantage prête qu'avant. (...) J'ai envie d'être heureuse."

C'est tout ce que nous lui souhaitons.

Laureline Reygner