Fin septembre, la Toile découvrait les surprenantes photos de Valérie Trierweiler pour le magazine japonais Richesse. Des clichés, façon shooting de mode, sur lesquels on pouvait constater deux choses : la blondeur de plus en plus prononcée de l'ancienne Première dame et un Photoshop évident. Alors que la somme de 4 000 euros était évoquée pour ces clichés, elle a mis les choses au clair.
Non, Valérie Trierweiler n'a pas touché 4 000 euros pour cette séance photo. La journaliste de Paris Match a ainsi envoyé un message Twitter au journal 20 Minutes afin de leur demander de faire une rectification de leurs propos. Au passage, elle en a profité pour mettre fin au suspense en dévoilant le montant perçu. "@20Minutes non 800 euros pour cette séance. Totalement versé au @SecoursPop. Merci de rectifier", a-t-elle dit.
Alors qu'elle n'avait jamais voulu vraiment confirmer la somme touchée suite à l'énorme succès de son livre choc Merci pour ce moment (on parle d'une somme entre 1 et 2 millions d'euros), Valérie Trierweiler s'est donc montrée cette fois-ci plus loquace. Il faut dire qu'elle n'a pas gardé l'argent pour elle. En effet, elle a affirmé que les 800 euros ont été directement versés au Secours populaire japonais "pour les victimes du tsunami rencontrées en juillet."
Toujours côté argent, elle en a aussi profité pour affirmer qu'elle détient toujours les droits de son livre alors que L'Express disait que c'était son amie l'actrice Saïda Jawad (dont on vient d'apprendre qu'elle est en couple avec Jean-Luc Mélenchon) via sa société de production Romarin films qui les avaient. Pour l'heure, en dépit de la volonté de son amie à porter à l'écran son récit, Valérie Trierweiler a donc toujours les droits.
Thomas Montet