En pleine Fashion Week durant laquelle il n'est pas rare de la croiser, Valérie Trierweiler et son nouveau look se sont confiés à Femme Actuelle. Dans de courts extraits diffusés sur le site de l'hebdomadaire, l'auteure du brulot Merci pour ce moment se confie avant de citer la Reine des neiges...
Un an et demi après sa rupture, Valérie Trierweiler apparait transformée, nouveau look et nouvelle couleur assumée. Si elle refuse d'évoquer François Hollande et Julie Gayet, elle reconnaît toutefois devant les journalistes du féminin qu' "il faudra encore un peu de temps" pour pardonner. Pour autant, tout va bien pour la journaliste de Paris Match. "Tous ces événement commencent à être derrière moi, même si ça se télescope avec la sortie du livre en Poche. Je ne dis pas que je les oublierai jamais, mais ils sont derrière moi", confie-t-elle.
Avec Merci pour ce moment écoulé à 800 000 exemplaires avant la sortie en Poche, sorte d'oeuvre confession-révélation dont elle assume "l'intégralité", Valérie Trierweiler n'a pas augmenté son quota d'amis. Et la maman du jeune Leonard que l'on croise de plus en plus souvent à ses côtés de confier qu'elle a peur "que l'on continue à mal [la] juger", à la "prendre pour ce qu' [elle n'est] pas". Sa plus grande peur reste d'être "perçue uniquement comme l'ex de François Hollande", et que cette image lui colle à la peau. "Je veux qu'on me laisse la chance de vivre ma vie", dit-elle dans ce qui ressemble à une supplique.
Dans un parallèle surprenant avec le carton de Disney La Reine des neiges, Femme Actuelle propose à Valérie Trierweiler de lire les couplets de la chanson et de son incontournable refrain, "Libérée, délivrée". "A dire vrai, je pense que je suis libérée depuis longtemps, reconnaît-elle. Je pense que je l'ai toujours été. Et sans doute le fait d'être une femme libérée est compliqué quand on est à l'Élysée." Et de se comparer à une "plante verte" qui fleurirait "quand on lui demande"... "Personne ne doit être ramené à ça, ni une femme ni un homme", ajoute-t-elle, poursuivant : "Ca aura duré moins de cinq ans, donc oui, je suis délivrée."
Valérie Trierweiler reprend enfin le dernier couplet, précisant qu'elle ne le chantera pas : "Quand on prend de la hauteur, tout semble insignifiant, la tristesse, l'angoisse et la peur m'ont quittées depuis longtemps." Des paroles qui trouvent un écho chez l'ancienne première dame qui conclut : "Non, tout ça ne m'a pas complètement quittée."
Valérie Trierweiler à retrouver en vidéo sur le site internet de Femme Actuelle et son entretien sera à découvrir dans l'édition papier du 11 juillet prochain.