Depuis l'annonce surprise de son engagement en politique, Véronique Genest ne cesse de faire couler de l'encre... Invitée dans le talk show de Laurent Ruquier On n'est pas couché pour parler de sa candidature aux législatives, l'héroïne de Julie Lescaut a dénoncé le "traquenard" dont elle a été victime durant l'enregistrement de l'émission, le 7 mars dernier. Quelques heures avant la diffusion de l'émission sur France 2, samedi 9 mars, la comédienne a une nouvelle fois réglé ses comptes...
Soucieuse de rétablir quelques vérités juste avant que les téléspectateurs ne découvrent l'émission, Véronique Genest a publié un très long tweet dans lequel elle est revenue sur son échange très musclé avec l'un des deux polémistes d'On n'est pas couché, Aymeric Caron. "Il ne m'a pas insultée (...) Par lui, je me suis juste sentie agressée et très déstabilisée. J'avais l'impression d'être injustement accusée (...) Le summum fut atteint quand Aymeric Caron a commencé à s'en prendre à mon mari [sur France 2, on a pu voir le polémiste lui demander si elle n'avait pas été "manipulée" par son époux, le médecin Meyer Bokobza, pour rentrer en politique, NDLR]. J'avais la voix sèche, ma vue se brouillait, mes oreilles bourdonnaient. Ce fut le trou noir", regrette la comédienne.
Véronique Genest va même plus loin et s'en prend ensuite à France 2, qui l'aurait "trahie" en lui laissant entendre qu'elle ne "serait pas l'invité politique de l'émission". "La chaîne a attendu que je sorte de l'émission pour annoncer ma disqualification dans On n'demande qu'à en rire. Si on me l'avait dit quand je suis arrivée, je serais repartie", lance celle qui a récemment amusé la toile avec son lapsus très embarrassant dans l'émission C à vous sur France 5.
Suppléante de Jonathan-Simon Sellem, candidat aux législatives anticipées dans la 8e circonscription des Français de l'étranger, Véronique Genest a effectivement été bousculée et s'est montrée souvent déstabilisée durant l'émission. À plusieurs reprises, elle s'est arrêtée en pleine argumentation pour reprendre son souffle et trouver ses mots face aux questions incisives des deux polémistes de l'émission, qui n'ont pas hésité à revenir sur son "islamophobie" et sur les convictions politiques de Jonathan-Simon Sellem, appartenant à la "droite dure israélienne" selon Aymeric Caron et Natacha Polony. Une analyse que la comédienne, qui se revendique d'un courant "centre droit", a tant bien que mal tenté de démentir sur le plateau, avant d'évoquer de "fausses accusations" sur Twitter.
La politique c'est un monde rude et implacable, il semble plus facile d'être... Julie Lescaut !