De terribles souvenirs qui ne cessent de le hanter ! Cette semaine, dans la nuit du 26 au 27 septembre 2023, Bruno Guillon et sa famille ont été victimes d'un home-jacking à leur domicile situé dans les Yvelines. C'est aux alentours de 3h30 du matin que trois individus cagoulés se sont introduits dans leur demeure située plus exactement à Tessancourt-sur-Aubette, une jolie commune nichée près de Paris. Voulant leur dérober des effets personnels, les malfaiteurs ont alors bâillonné et menacé Bruno Guillon, son épouse et leur fils avec des armes.
D'après Le Parisien, le préjudice s'élève aujourd'hui à plus de 80 000 euros. Malgré cette mésaventure, Bruno Guillon a retrouvé ce jeudi les auditeurs de Fun Radio pour donner de ses nouvelles. "J'ai reçu des milliers de messages de mes proches et beaucoup de gens que je ne connais pas, qui sont des auditeurs ou des téléspectateurs", a t-il déclaré. Avant de renchérir avec humour : "Et la seconde chose que je retiens, c'est qu'il faut garder un slip quand on dort. On ne sait jamais comment on peut être réveillé le matin ! Je ne dormirai plus jamais nu." Au lendemain de cette prise de parole, ce vendredi 29 septembre 2023, Bruno Guillon s'est montré particulièrement ému en évoquant l'incident au micro de RTL.
"Ils sont trois. Je suis en train de dormir évidemment, et j'entends mon fils qui parle. Je me lève et là, tout de suite, je vois une lumière qui fonce vers moi, avec quelqu'un qui hurle et qui me pose un revolver sur le front en me disant : 'On va vous buter. Tais-toi, on sait qui tu es'", s'est remémoré le confrère de Jarry auprès d'Yves Calvi. Un véritable cauchemar pour l'animateur qui souhaitait avant tout protéger les siens : "Ce n'est même pas de la peur. On sort de son corps. Je vois ma femme avec un pistolet sur la tempe. Je vois mon fils qui est menacé par deux gars."
Ils vont me tuer
La voix tremblante et les larmes aux yeux, Bruno Guillon a poursuivi non sans mal son récit : "Tout de suite, on m'attache les mains dans le dos, on m'emmène dans la chambre de mon fils. On me dit que si jamais on fait quoi que ce soit, ils vont me tuer (...)." Pendant les "30 minutes les plus longues de sa vie", le principal intéressé et son clan seront séquestrés dans une pièce. "Avec un gars qui nous surveille", a précisé ce dernier, la gorge nouée. Mais visiblement, les cambrioleurs semblaient assez déçus de leur "butin". Après leur départ, Bruno Guillon a tout de suite appelé la police après s'être assuré que sa compagne et leur enfant se portaient bien...