Au même titre que Jean-Marc Généreux,Chris Marques a incontestablement marqué les fidèles téléspectateurs de Danse avec les stars sur TF1. Avec les candidats, le danseur et chorégraphe franco-portuguais s'est toujours montré très exigeant. Pointilleux mais sympathique, le principal intéressé a plusieurs fois déchaîné les passions sur la Toile en raison de ses notes. Ce mercredi 27 septembre 2023, l'époux de Jaclyn Spencer s'est, cette fois-ci, illustré sur le plateau de Télématin !
Face à Marie Portolano, Chris Marques a abordé avec sincérité sa scolarité marquée par le harcèlement scolaire. En changeant d'établissement, "timide" et "réservé", il a vécu un véritable enfer avec quelques-uns de ses anciens camarades. "Je venais juste de changer d'école, j'avais fait mon CP dans une école, je passais mon CE1 ailleurs et immédiatement je deviens peut-être un petit l'enfant vulnérable et facile à attaquer", a analysé le danseur.
Alors âgé de 7 ans, Chris Marques a dans un premier tant été victime de "dénigrement" avant de subir des "violences physiques". L'occasion pour lui d'en dire davantage quant à son quotidien studieux. "J'ai toujours aimé aller à l'école, c'était un environnement dans lequel j'étais très à l'aise", a affirmé le principal intéressé dont les origines semblaient interloquer ses pairs. Et de compléter : "Mais c'est vrai que c'était aussi également le petit calvaire (...) psychologique". Chaque jour, Chris Marques se rendait en cours avec la boule au ventre. "En fin de compte, tous les matins, la question allait être 'Cela va être une journée normale ? Ou est-ce que cela allait encore être une journée compliquée ?'", a t-il ajouté, la gorge nouée.
Le jour où ils ont vu les bleus, les marques...
"C'était quoi une journée compliquée par exemple ?", lui alors demandé la consoeur de Thomas Sotto. Ce à quoi son invité du jour lui a répondu sans filtre : "C'était les moments fun comme les récréations qui deviennent en fin de compte des moments de peur, des moments où on essaie juste de trouver un groupe avec qui s'attacher, avec qui s'accrocher pour ne pas être justement le petit garçon tout seul qui va se prendre une tarte (...)" En pleine tourmente, Chris Marques n'a pas hésité à en discuter avec ses parents : "Ils m'ont montré un soutien sans faille, immédiat, le jour où ils ont vu les bleus, les marques, les coups... Quand tout à coup on se sent soutenu, il y a une sorte de libération (...)" Un bouleversant témoignage.