Vincent Lagaf' animera Pouch'le bouton, samedi 7 mai 2011 à 20h50 sur TF1.
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Samedi 7 mai, Vincent Lagaf' revient sur TF1 en prime time avec un tout nouveau jeu, Pouch'le bouton (voir bande-annonce), adapté du concept britannique Push the button.
Le principe : quatre familles s'affrontent lors de quiz et de défis physiques... Chacune des familles part avec une cagnotte de 100 000 euros qui s'égrainera au fil du temps passé à réaliser les épreuves. Pour interrompre le chronomètre et ainsi stopper la baisse de leur cagnotte, les candidats doivent presser un gros bouton lumineux. A l'issue d'une série de jeux, la famille qui aura la cagnotte la plus élevée (et donc qui aura été la plus rapide au cours des épreuves) pourra tenter de remporter la somme préservée.
En vue de son premier rendez-vous en prime time sur TF1 depuis 1999 (à l'époque, il animait chaque mois Drôle de jeu), l'animateur âgé de 51 ans accorde une interview au site tf1.fr dans laquelle il se présente comme "un clown moderne" qui vit chacune de ses émissions comme un one-man show à part entière.
"(Le public présent sur le plateau de Pouch'le bouton) me permet de faire le show comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps ! C'est une chance pour moi de pouvoir me déguiser, de donner un sens à ces costumes, d'imaginer des histoires à travers des décors étonnants. J'ai retrouvé l'esprit de toutes ces grandes émissions que j'ai animées par le passé que ce soit à travers Drôle de jeu ou lors de toutes les spéciales du Bigdil où l'on évoluait dans des univers toujours différents ", confie le présentateur et humoriste, qui entrera notamment dans la peau d'un coach sportif, d'un dentiste, d'un pharaon, et d'une danseuse des pays de l'Est au cours de l'émission.
En bon showman, Vincent Lagaf', papa de Robin, 20 ans, né de son union avec Véronique, son épouse, n'oublie pas qu'il est surtout là pour amuser la galerie. Impossible pour lui de se contenter de lire un prompteur : mettez-le sur un plateau, il devient intenable.
"Mon métier, c'est la scène. Je suis incapable d'avoir des fiches ou de rester en place. Je ne sais pas écouter un réalisateur me dire : 'Vincent, tu dois regarder telle caméra à tel moment'. Gabriel Cotto (réalisateur avec lequel il travaille depuis près de vingt ans, ndlr) l'a très bien compris. Voilà pourquoi il y a tant de caméras sur le plateau. Je fais un one-man-show et le réalisateur se débrouille pour le capter. (...) Retenir l'attention du public qui regarde la télévision à 19 heures est une pression très forte", assure celui qui a tenu les rênes de l'access de TF1 entre 1996 et 2006 avant de revenir en 2009 avec Le Juste Prix.
"La préparation d'un prime est, quant à elle, plus fatigante car il s'agit d'un one-man-show qui dure 6 heures à 6 heures 30. Aucun artiste ne fait de spectacles aussi longs. Je le paie donc le lendemain avec la voix qui me lâche un peu", précise-t-il.
Son secret pour conserver une place de choix dans le coeur du public ? La sincérité. Il explique : "On ne ment pas au public, jamais. A partir du moment où vous restez vous-même, où vous donnez aux téléspectateurs ce qu'ils souhaitent, le contact se fait toujours. Je n'appartiens pas au show business, je suis quelqu'un de simple. J'ai eu la chance de rencontrer Fernand Raynaud, une fois dans ma vie. Je garde en mémoire ce qu'il m'a dit : 'Tant que tu seras ce que tu es, tu resteras ce que tu es'."
Joachim Ohnona
Le principe : quatre familles s'affrontent lors de quiz et de défis physiques... Chacune des familles part avec une cagnotte de 100 000 euros qui s'égrainera au fil du temps passé à réaliser les épreuves. Pour interrompre le chronomètre et ainsi stopper la baisse de leur cagnotte, les candidats doivent presser un gros bouton lumineux. A l'issue d'une série de jeux, la famille qui aura la cagnotte la plus élevée (et donc qui aura été la plus rapide au cours des épreuves) pourra tenter de remporter la somme préservée.
En vue de son premier rendez-vous en prime time sur TF1 depuis 1999 (à l'époque, il animait chaque mois Drôle de jeu), l'animateur âgé de 51 ans accorde une interview au site tf1.fr dans laquelle il se présente comme "un clown moderne" qui vit chacune de ses émissions comme un one-man show à part entière.
"(Le public présent sur le plateau de Pouch'le bouton) me permet de faire le show comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps ! C'est une chance pour moi de pouvoir me déguiser, de donner un sens à ces costumes, d'imaginer des histoires à travers des décors étonnants. J'ai retrouvé l'esprit de toutes ces grandes émissions que j'ai animées par le passé que ce soit à travers Drôle de jeu ou lors de toutes les spéciales du Bigdil où l'on évoluait dans des univers toujours différents ", confie le présentateur et humoriste, qui entrera notamment dans la peau d'un coach sportif, d'un dentiste, d'un pharaon, et d'une danseuse des pays de l'Est au cours de l'émission.
En bon showman, Vincent Lagaf', papa de Robin, 20 ans, né de son union avec Véronique, son épouse, n'oublie pas qu'il est surtout là pour amuser la galerie. Impossible pour lui de se contenter de lire un prompteur : mettez-le sur un plateau, il devient intenable.
"Mon métier, c'est la scène. Je suis incapable d'avoir des fiches ou de rester en place. Je ne sais pas écouter un réalisateur me dire : 'Vincent, tu dois regarder telle caméra à tel moment'. Gabriel Cotto (réalisateur avec lequel il travaille depuis près de vingt ans, ndlr) l'a très bien compris. Voilà pourquoi il y a tant de caméras sur le plateau. Je fais un one-man-show et le réalisateur se débrouille pour le capter. (...) Retenir l'attention du public qui regarde la télévision à 19 heures est une pression très forte", assure celui qui a tenu les rênes de l'access de TF1 entre 1996 et 2006 avant de revenir en 2009 avec Le Juste Prix.
"La préparation d'un prime est, quant à elle, plus fatigante car il s'agit d'un one-man-show qui dure 6 heures à 6 heures 30. Aucun artiste ne fait de spectacles aussi longs. Je le paie donc le lendemain avec la voix qui me lâche un peu", précise-t-il.
Son secret pour conserver une place de choix dans le coeur du public ? La sincérité. Il explique : "On ne ment pas au public, jamais. A partir du moment où vous restez vous-même, où vous donnez aux téléspectateurs ce qu'ils souhaitent, le contact se fait toujours. Je n'appartiens pas au show business, je suis quelqu'un de simple. J'ai eu la chance de rencontrer Fernand Raynaud, une fois dans ma vie. Je garde en mémoire ce qu'il m'a dit : 'Tant que tu seras ce que tu es, tu resteras ce que tu es'."
Joachim Ohnona