Vladimir Poutine, récemment retiré du musée Grévin après être officiellement entré en guerre avec l'Ukraine le 24 février dernier, ne serait plus au top de sa forme. Une information rapportée par le magazine Paris Match, qui est revenu dans son édition du 9 juin sur les rumeurs de cancer qui visent le président russe, en révélant notamment un élément pour le moins surprenant : une personne serait chargée de "collecter ses déjections naturelles", à savoir ses excréments et son urine, puisqu'elle contiendraient "des informations capitales" pour l'avenir du monde.
Une mission qui remonterait à 2019 selon le magazine, et conduite à l'époque sous le contrôle du FSO, le Service de protection fédérale, chargé de la sécurité des personnalités officielles russes. Un agent avait alors dû placer les déjections du chef d'État dans des pochettes prévues à cet effet, "afin de ne laisser aucune trace et de tout rapporter au pays dans une valise spéciale". Cette pratique avait déjà eu cours lors de la visite de Poutine en France le 29 mai 2017, jour où Emmanuel Macron recevait son homologue russe à Versailles.
Ce qui laisse également à penser que Vladimir Poutine connaîtrait de sérieux problèmes de santé, c'est que Paris Match aurait également comptabilisé plus de cinq " disparitions " de plusieurs jours du chef du Kremlin depuis 2012. Une année d'ailleurs durant laquelle ses apparitions étaient très ponctuelles et surtout limitées à une durée d'une heure. Il aurait également été opéré du dos à deux reprises sur ces dernières années, notamment en 2019, à en croire l'équipe médicale, faite d'anesthésistes, de réanimateurs et d'experts de la "réadaptation", qui l'entourait à l'époque.
La thèse d'un cancer de la thyroïde serait la plus probable selon les oncologues et experts ORL présents à ses côtés. Et malgré la volonté du Kremlin de maintenir la vie de l'ancien espion du KGB très secrète, les doutes quant à sa capacité à diriger son pays dans une forme olympique comme il en faisait preuve à l'époque commencent à s'immiscer de plus en plus dans l'esprit des observateurs.