L'été est décidément bien propice aux mariages... Surtout chez les sportifs, qui profitent de la pause estivale pour convoler en justes noces. Et les rugbymen n'échappent pas à la tradition. Après le capitaine du XV de France Thierry Dusautoir, c'est Yoann Huget, l'actuel meilleur trois-quarts tricolore qui a épousé sa belle, Fanny Veyrac, dont le visage n'est pas inconnu des amateurs du Juste Prix, l'émission de TF1 présentée par Vincent Lagaf'.
Le 6 juillet, le joueur du Stade toulousain disait oui à sa jolie brune après trois ans d'amour passionné. Au cours d'une cérémonie tout ce qu'il y a de plus traditionnelle - mairie, église, robe blanche et soirée -, le jeune homme de 26 ans a dit oui à son animatrice préférée du côté de Bordeaux. "On attendait ça depuis un an. Ça a été comme on l'espérait", confie le jeune marié au Parisien.
Le couple avait confié l'organisation de cette journée à une spécialiste, leurs emplois du temps ne leur permettant pas de s'y consacrer eux-mêmes. "À mon retour de Nouvelle-Zélande [où il était en tournée avec le XV de France, NDLR], je me suis mis à fond dans la préparation du mariage, poursuit le Toulousain. On avait pris quelqu'un pour organiser tout ça car, avec nos métiers, nous n'avons pas eu beaucoup de temps pour nous occuper de tout pendant l'année. Mais les derniers préparatifs, ça a été du stress."
Mariés du côté de Bordeaux, le juste milieu pour Yoann Huget résidant à Toulouse et Fanny Veyrac qui passe le plus clair de l'année à Paris, ils se sont dit oui devant tous leurs proches. Pour leur plus grand bonheur. "On a voulu que la cérémonie reste simple. On a regroupé la famille et les amis. Il y avait cent cinquante personnes. C'était des super moments : voir tous les gens qu'on aime réunis et heureux", ajoute-t-il.
Les tourtereaux ont par la suite pris la direction de la Thaïlande pour une lune de miel bien méritée : "C'était quinze jours de décompression, ça nous a fait du bien. Après le stress, après la fête, ça nous a permis de nous retrouver tous les deux et nous nous sommes laissés vivre. Nous étions basés sur l'une des petites îles qui bordent la Thaïlande. On se levait quand on voulait, on prenait notre petit déjeuner puis on partait sillonner les environs à scooter. On allait à la plage, à la piscine, du classique..." Du classique sans livres, sans musique, juste le plaisir d'être à deux. "Quand je suis avec ma femme, elle chante toujours à côté de moi. Je n'ai vraiment pas besoin de musique", rapporte le beau gosse.
Quant à leur éloignement géographique, il ne semble pas être un obstacle à leur amour. Et le mariage ne devrait pas les rapprocher pour autant : "Son métier est à Paris. Elle fait des allers-retours dès qu'elle peut. Mais ça nous va bien pour le moment. Nous sommes jeunes et nous n'avons pas d'enfant."