"Comment est-ce possible ?" : Camille Lacourt écoeuré par l'attitude polémique d'un personnage clé du procès Mazan

C'est un procès d'une dimension jamais vue et le tribunal d'Avignon est en effervescence depuis plusieurs jours maintenant. Dominique Pélicot, le mari de Gisèle Pélicot, est accusé d'avoir drogué sa femme à son insu et de l'avoir fait violer par plus de 70 hommes. Une cinquantaine d'entre eux a été identifiée et ils se retrouvent aujourd'hui sur le banc des accusés. Un procès que la plaignante a voulu rendre public et qui fait couler énormément d'encre.

Parmi les personnalités qui ressortent depuis le début de l'affaire, certains avocats sont en train de se faire un nom. C'est le cas de Nadia El Bouroumi, avocate de la défense dans le procès des viols de Mazan, dont le style ne laisse personne indifférent. L'avocate de 45 ans a pour habitude de se livrer avant ou après le procès sur ses réseaux sociaux et elle n'hésite pas à donner son avis sur l'affaire. Une attitude qui ne plaît pas à tout le monde et c'est le cas de Camille Lacourt, comme ce dernier l'a montré sur son compte Instagram. Dans sa story (qui est à retrouver dans le diaporama), le nageur a partagé une vidéo d'un compte d'information évoquant le cas de Nadia El Bouroumi sur le fait que "de nombreux internautes se disent sidérés" par le comportement de cette dernière.

Et visiblement, celui qui a récemment dévoilé des images de sa fille Jazz qu'il a eue avec Valérie Bègue, est du même avis que les internautes. "Mais comment est-ce possible ? Mais pouvons-nous respecter la victime ?", écrit Camille Lacourt en ajoutant une série d'emojis montrant son écoeurement face à l'attitude de Nadia El Bouroumi lors de ce procès.

Camille Lacourt n'est d'ailleurs pas le seul à s'en prendre à l'avocate et ils sont nombreux à se demander si cette dernière a le droit de s'exprimer sur les réseaux dans l'affaire Mazan. "Chacun, je crois, à la liberté de sa vie personnelle et professionnelle et si elle a cru devoir le faire, elle l'a fait. Je ne souhaite pas porter un jugement sur cette façon de procéder (...) Ça relève de sa vie privée et elle n'était pas interrogée à ce moment-là et elle n'était pas dans le cadre du fond du dossier au moment où la vidéo a été publiée", a déclaré sa consoeur Béatrice Zavarro et unique avocate de Dominique Pélicot dans ce procès.