"Elle m'en veut un peu" : Léa Salamé, cette grande actrice qui ne veut pas venir sur son plateau

A nouveau samedi, nouveau numéro du talk-show Quelle époque ! sur France 2 ! L'émission de Léa Salamé, aux côtés de Christophe Dechavanne et Paul de Saint Sernin, a fait sa rentrée en grande pompe sur la chaîne du service public, passionnant régulièrement 1 million de téléspectateurs malgré l'heure tardive. Si certaines séquences ont d'ores et déjà fait le tour du web, comme le coup de gueule poignant de Muriel Robin sur le statut des acteurs homosexuels, certains ont tout de même des choses à redire sur le programme, à l'image de Bruno Masure avec qui Christophe Dechavanne avait réglé ses comptes à cette occasion.

Et s'il y a bien une star qui ne mettra pas les pieds sur le plateau, selon Léa Salamé, c'est Catherine Deneuve. Elle s'en était ouverte le samedi 9 septembre dernier sur RTL dans l'émission On refait la télé. "Catherine Deneuve, je crois qu'elle m'en veut un peu. Parce que j'avais fait une interview sur Stupéfiant de Roman Polanski où j'avais posé les questions dures sur ce qu'on lui reprochait. Et je crois qu'elle n'a pas apprécié que je lui pose ces questions-là", avait expliqué la maman du petit Gabriel, qui "adorerait" pourtant la recevoir en interview.

L'ancienne compagne de Pierre Lescure a toujours défendu le cinéaste, époux de longue date d'Emmanuelle Seigner. "Toute sa vie d'homme, de cinéaste depuis quarante ans, a été ombrée par ça. Ça a été très lourd et très dur. Même la personne qui a subi ces violences a dit qu'il fallait que ça s'arrête", avait-elle déploré en 2019 sur le plateau de C à vous. Pour rappel, le réalisateur de 90 ans est accusé de viol et agressions sexuelles par plusieurs femmes, dont l'actrice Charlotte Lewis.

Malgré sa grande envie d'échanger avec Catherine Deneuve, à l'affiche du film Bernadette, Léa Salamé n'a pourtant jamais souhaité lui passer un coup de téléphone pour discuter du malaise entre elles : "Parce que je ne la connais pas et que je n'ose pas le faire." Et de conclure : "Elle a le droit de dire non."