Si les photos d'Amal, sur tapis rouge, à Venise durant son mariage avec George Clooney, ou lorsqu'elle arpente les rues de Londres, sont nombreuses, une interview d'elle à la télévision ne passe pas inaperçue !
Face à la caméra de NBC News et la journaliste Cynthia McFadden, Amal Clooney Alamuddin prend un peu de temps dans son agenda particulièrement chargé d'avocate spécialisée en droit humanitaire pour braquer les projecteurs sur un activiste politique particulier : Mohamed Nasheed, le seul dirigeant élu démocratiquement aux Maldives puis jeté en prison, injustement accusé de terrorisme.
"La démocratie est morte aux Maldives. Littéralement, s'il y avait des élection, il n'y aurait personne face à l'actuel président. Tous les opposants politiques sont derrière les barreaux ou poursuivis par la justice", explique l'avocate britannique d'origine libanaise. C'est pourquoi la brillante femme de loi a porté cette affaire devant des sénateurs américains pour que les États-Unis imposent des sanctions à ce pays qui ne respecte pas la liberté et tenter de faire libérer Nasheed.
Evidemment, la question de son couple avec la star George Clooney intervient lors de cet entretien. Elle admet que la lumière est désormais braquée sur elle, mais elle se distingue d'une autre personnalité très impliquée dans l'humanitaire, Angelina Jolie, tout simplement parce qu'elle est avocate depuis toujours : "Je pense que c'est formidable que les stars consacrent du temps et de l'énergie pour une noble cause. Je ne me vois pas de la même façon, car je fais le même travail que je faisais avant [d'être médiatisée par sa relation avec George Clooney, NDLR]. S'il y a plus d'attention, je pense que c'est néanmoins une bonne chose."
Au cinéma, on retrouvera George Clooney dans Ave César des frères Coen (le 17 février) puis dans Money Monster de Jodie Foster (le 20 avril).