Amel Bent : Son mari condamné, tendre moment réconfort avec ses filles

C'est un moment douloureux pour Amel Bent. Son mari Patrick Antonelli n'en a pas fini avec la justice. En effet, mercredi 8 juillet 2020, cet ancien gérant de deux auto-écoles dans les Hauts-de-Seine a été condamné, entre autres, à quatre ans de prison, dont deux avec sursis dans une affaire d'escroquerie au permis de conduire. Forcément perturbée par la nouvelle, la chanteuse de 35 ans se console auprès de leurs deux filles Sofia (4 ans) et Hana (2 ans et demi).

Sur Instagram dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 juillet 2020, Amel Bent a en quelque sorte donné de ses nouvelles. L'interprète du titre Ma Philosophie a publié une photo où apparaissent ses adorables fillettes. L'aînée Sofia est allongée sur un lit, le visage caché par son doudou. La petite Hana est debout en arrière-plan, de dos. En légende de ce tendre cliché, pas de longue déclaration, juste deux emojis représentant des fées. En story, celle qui officie comme juré dans The Voice (TF1) a aussi partagé cette belle photo... avec une musique bien choisie en fond : Je l'aime à mourir, tube de Francis Cabrel sorti en 1979. "Des éclats de rire. Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel, et nous les traversons à chaque fois qu'elle ne veut pas dormir, ne veut pas dormir, je l'aime à mourir", peut-on entendre.

Des paroles qui prennent tout leur sens aujourd'hui. Rappelons que la petite famille vient d'apprendre la peine à laquelle a été condamné Patrick Antonelli. Jugé pour "corruption", "modification frauduleuse d'un système de données" et "obtention frauduleuse de document administratif" par le tribunal correctionnel de Nanterre, il a été condamné à quatre ans de prison, dont deux de sursis sans probation et avec mandat de dépôt différé, ce qui lui permet d'éviter la prison dans l'immédiat. L'amoureux d'Amel Bent et papa des filles doit payer une amende de 100 000 euros, suivre une formation et a également l'interdiction de gérer toute entreprise. Un verdict auquel il avait réagi via son avocat, se disant "soulagé de pouvoir repartir libre sans mandat de dépôt immédiat et exécutoire à l'audience". Reste à savoir s'il souhaite faire appel... Si tel n'est pas le cas, il est attendu le 4 septembre prochain pour le mandat de dépôt, soit son incarcération.