Si vous êtes un jour invité chez Angelina Jolie, ne comptez pas sur la star de Maléfique pour vous concocter un bon petit plat maison : l'actrice n'aime (ou ne sait) pas cuisiner. Tant mieux, puisqu'on avait appris il y a quelques jours que l'un de ses enfants, à savoir Pax (11 ans) avait quelques prédispositions en la matière, se posant comme un petit chef en herbe. Sans quoi, c'est Brad Pitt qui porte le tablier et oeuvre aux fourneaux.
"Personne à la maison ne veut que je cuisine pour Noël", a confié la comédienne et réalisatrice de 39 ans, avec un large sourire. Très amusée par son petit défaut, la maman de six enfants et épouse du beau Brad s'est confiée sur ses talents inexistants de cuistot lors d'une interview accordée à Good Morning Britain. "Je crois qu'il faut être patient pour cuisiner", confie celle qui se consolera dans le coin planche à découper dont elle a hérité. "Et je n'ai aucune patience. Je vais commencer quelque chose, puis partir lire ailleurs, ou alors jouer dehors avec les enfants", avoue-t-elle à Ben Shepard. Pas très responsable Angie ?
Il faut pourtant croire que si, mais pas en cuisine. Très investie dans tout ce qu'elle entreprend, on pense bien sûr au cinéma, mais également à ses engagement humanitaires, Angelina Jolie est erigée en modèle de droiture et de sérieux. Par exemple, pour son dernier long métrage Invincible, elle avoue à Première avoir eu beaucoup plus de difficultés à mettre sur pied celui-ci, contrairement au drame qu'est son premier film, Au Pays du sang et du miel. "C'est la première fois que je réalise un film pour un studio, et que les tâches à accomplir étaient considérables compte tenu de la taille du budget, correct mais modeste, assure miss Pitt. Il fallait reconstituer la Californie des années 20, les Jeux Olympiques de 1936 sous Hitler, trois camps de prisonniers, un périple de quarante-sept jours sur un radeau... Sans compter deux crashs d'avion, qui exigent une logistique spécifique. Il m'a fallu apprendre beaucoup, écouter, poser des tas et des tas de questions. Et puis, je ressentais une responsabilité supplémentaire de bien faire parce que j'étais devenue proche de Louis à la fin de sa vie. C'était devenu une affaire personnelle."