Le 30 septembre dernier, Ayem Nour était heureuse d'annoncer son grand retour en France, avec son fils Ayvin (6 ans). Après un an passé au Maroc, pays que son fils n'était pas autorisé à quitter, l'ancienne candidate de télé-réalité a obtenu gain de cause.
C'est une nouvelle vie qu'elle entame désormais avec son enfant, né de sa relation avec l'homme d'affaires Vincent Miclet. Et tout semble aller du mieux possible à en croire ses dernières stories Instagram. Ayem Nour a partagé quelques vidéos de sa matinée avec Ayvin dans ce qui ressemble à un appartement parisien qu'ils ont investi. Mère et fils ont profité de la douceur des températures pour prendre leur petit-déjeuner sur le balcon. Au menu : tomates, cornichons, petites saucisses et une tranche de fromage ! Si on ne l'aperçoit pas à travers les images, on l'entend en revanche très clairement remercier sa maman pour avoir préparé ce bon petit plat et lui souhaiter un bon appétit. "La politesse de cet enfant, je meurs... La pomme ne tombe jamais loin du pommier. En toute humilité, fière de lui avoir transmis ça", a-t-elle légendé.
La France et le Maroc m'ont autorisée à partir
On imagine qu'il s'agit d'un véritable moment suspendu pour Ayem Nour, laquelle a été éreintée par sa bataille avec son ex Vincent Miclet. Accusée par ce dernier d'avoir enlevé leur enfant, elle a récemment assuré que son départ du Maroc avec Ayvin avait été fait dans la légalité la plus complète. "La France et le Maroc m'ont autorisée à partir. Il faut savoir qu'il y a une carte de séjour qui a été faite pour Ayvin par le papa et sa compagne à mon insu et sans mon accord. Une carte de séjour qui expirait le 11 septembre et j'ai dû attendre qu'elle expire pour pouvoir partir de manière légale", a-t-elle expliqué.
Ayem Nour a également rappelé avoir remporté toutes les décisions de justice autour de la garde de son fils. "La Cour d'appel de Paris a statué que l'enfant resterait bien avec sa maman avec une résidence en France. Et il y a eu un non-pourvoi en cassation, ce qui est une décision validée par la cour d'appel qui veut dire que personne ne reviendra là dessus." Vincent Miclet avait de son côté indiqué que des audiences d'appel auront lieu au Maroc les 6 et 16 octobre prochain "pour diffamation et enlèvement d'enfant".