Enfin de retour en France avec son fils Ayvin (6 ans) après plus d'un an d'immobilisation au Maroc, Ayem Nour a pris le temps de s'adresser à sa communauté Instagram lors d'un live réalisé ce lundi 2 octobre. La mine fatiguée, couverte d'un large pull et une casquette vissée sur la tête, l'ancienne star de télé-réalité avait ainsi l'intention de répondre en toute transparence à toutes les questions que les internautes pouvaient se poser autour de son conflit avec son ex et père de son fils Vincent Miclet. Une vidéo qui fait suite à la réaction de ce dernier suite à son rapatriement en France.
Notamment accusée d'avoir enlevé son enfant, elle a d'emblée fait savoir que son départ du Maroc avec Ayvin avait été fait dans la légalité la plus complète. "La France et le Maroc m'ont autorisée à partir. Il faut savoir qu'il y a une carte de séjour qui a été faite pour Ayvin par le papa et sa compagne à mon insu et sans mon accord. Une carte de séjour qui expirait le 11 septembre et j'ai dû attendre qu'elle expire pour pouvoir partir de manière légale", a-t-elle expliqué.
Le conflit de base n'est pas la garde de l'enfant
Ayem Nour a également rappelé avoir remporté toutes les décisions de justice autour de la garde de son fils. "La Cour d'appel de Paris a statué que l'enfant resterait bien avec sa maman avec une résidence en France. Et il y a eu un non-pourvoi en cassation, ce qui est une décision validée par la cour d'appel qui veut dire que personne ne reviendra là dessus. Le papa a un droit de visite, un week-end sur deux et la moitié des vacances, chose que moi j'ai toujours respecté. Mais pas lui." Selon la belle brune, Vincent Miclet n'aurait en effet pas été des plus présents pour Ayvin. "Il ne sait pas comment il vit, il ne sait pas ce qu'il mange, il ne répond pas à ses messages, il ne répond pas à ses appels, il l'a privé de ses effets personnels, de ses vêtements, de ses jouets, de ses papiers, de ses titres de transport, de son carnet de santé... Le conflit de base n'est pas la garde de l'enfant, le conflit de base est de se venger d'une femme à travers sa faiblesse, qui est son enfant."
Si Ayem Nour n'en a pas terminé avec ce combat, puisque des procès sont toujours en cours au Maroc, elle souhaite désormais se consacrer à "reprendre un équilibre" avec Ayvin en France. "Il vit une vie très sereine, très saine, très équilibrée. Il n'a même pas conscience de tout ce conflit parce que je m'efforce au quotidien de le garder dans une bulle, dans un cocon. Ce n'est pas à moi de lui décrire qui est son géniteur, je pense qu'il aura l'occasion de le découvrir en grandissant. (...) On va reprendre ses activités de sport et je vais continuer de subvenir aux besoins de mon fils, seule, comme je le fais depuis plus d'un an", a-t-elle confié.
De son côté, Ayem Nour compte bien récupérer une place dans l'univers audiovisuel. "Des projets à la télé, il y en a, ce n'est pas encore acté mais c'est en cours", a-t-elle annoncé.