Vendredi 10 octobre, Aymeric Caron était invité sur le plateau de C à vous sur France 5. L'occasion pour lui de revenir sur ses tensions avec Natacha Polony dans On n'est pas couché (France 2), ses rapports avec la remplaçante de cette dernière, Léa Salamé, mais aussi ses interviews parfois tendues dans ONPC.
Depuis septembre, Aymeric Caron fait équipe avec la jeune Léa Salamé (35 ans) qui a donné un nouveau souffle au programme hebdomadaire de France 2. Il faut dire qu'entre le journaliste et Natacha Polony - à présent au Grand Journal sur Canal+ -, les rapports étaient de plus en plus tendus à la fin de la saison dernière. Interrogé justement sur ses rapports avec les deux femmes, le polémiste n'a pas caché qu'il s'entendait bien mieux avec sa nouvelle collaboratrice. "Avec Natacha, c'était très bien aussi, d'une certaine manière. On avait des relations qui effectivement se tendaient vers la fin. Personne ne s'en est caché", a-t-il déclaré avant qu'Anne-Sophie Lapix ne lui rappelle que c'est justement une chose qu'il n'avait jusque-là jamais vraiment reconnue. "Non, j'avais contesté une phrase qu'elle n'a pas prononcée ou que je n'avais pas prononcée, mais le fait qu'on s'énervait mutuellement, je l'avais reconnu", a-t-il répondu.
Bref, entre les deux anciens journalistes, ce n'était pas franchement l'amour fou. En revanche, avec Léa Salamé, Aymeric Caron est aux anges. Après avoir déclaré que la jeune femme "l'inspirait", il a ajouté, le sourire aux lèvres : "Avec Léa, c'est autre chose et je trouve que ça se passe extrêmement bien. Je suis très très content de ce duo qui commence."
Interviewé également par Anne-Elisabeth Lemoine au sujet de ses interviews parfois musclées, Aymeric Caron a poussé une sorte de coup de gueule. Pour lui, les clashs qui se déroulent sur le plateau d'On n'est pas couché n'ont rien à voir avec sa façon de poser les questions mais plutôt avec les invités. "Suis-je responsable ou est-ce l'invité qui est responsable de ne pas savoir tenir ses nerfs ou de ne pas supporter qu'on lui pose des questions qui peuvent déranger ? Peut-être qu'il y a un petit problème en France avec la classe politique qui n'admet pas que des journalistes puissent leur poser des questions qui peuvent les mettre dans l'embarras", a-t-il déclaré.
Sarah Rahimipour