Après la lune de miel... Le dur retour à la réalité.
Le top Bar Refaeli est soupçonné de fraude fiscale. La jeune mariée n'aurait pas déclaré à l'État israélien des rabais sur des produits de luxe et d'autres cadeaux qui sont soumis à l'impôt sur le revenu, selon le journal Haaretz, reprenant une information de Ynet.
Selon la presse locale, la star de la mode a été interrogée hier, mercredi 16 décembre, pendant douze heures par des agents du fisc au sujet de ces avantages en nature, lesquels sont évalués à plus de 237 000 euros.
Parmi les autres accusations, le fisc lui reproche de ne pas avoir payé le loyer d'un appartement dans une résidence de luxe de Tel-Aviv, d'avoir fait signer des baux par sa mère et son frère, d'avoir payé un architecte d'intérieur en faisant de la publicité pour son entreprise, d'avoir reçu une voiture en échange de visibilité, le tout sans rien déclarer à l'État...
"Il s'agit d'une question d'imposition qui soulève le débat sur les gens qui sont considérés comme des résidents israéliens", a déclaré son avocat, Giora Aderet, cité par The Guardian.
Aujourd'hui, le tribunal de Tel-Aviv a indiqué que le "supertop" ne pouvait quitter le territoire qu'en échange d'une double garantie financière : une de 59 000 euros et une autre de 118 000 euros versée par un tiers.
Mariée depuis quelques semaines à l'homme d'affaires Adi Ezra, qu'elle a épousé lors d'une cérémonie grandiose, Bar Refaeli va devoir patienter jusqu'à ce que cette affaire soit résolue.
À suivre...