Bernard de la Villardière n'est pas près de pardonner à l'équipe de Touche pas à mon poste sur C8, et plus particulièrement à Enora Malagré, d'avoir émis publiquement en octobre dernier un avis très négatif sur son numéro polémique de Dossier tabou (M6) consacré à l'islam en France.
Interrogé par nos confrères de Télé Loisirs vendredi 27 janvier, le journaliste de 58 ans est tout d'abord revenu sur la polémique autour du reportage et ses suites. "Le CSA a été saisi par un certain nombre d'organisations, de personnalités, etc., et le CSA nous a donné raison en nous adressant une lettre dans laquelle ils disent que le traitement du sujet a été extrêmement équilibré. Il n'est pas impossible qu'on fasse un deuxième numéro, qu'on fasse un droit de suite en effet car on a encore quelques billes", a-t-il révélé. Et de poursuivre à propos des critiques, et notamment celles de TPMP à son égard : "Le succès ne plaît pas toujours, ne plaît pas à tout le monde, la société française a changé puisqu'aujourd'hui il y a des procureurs, des flics de la pensée qui flinguent cette émission et on ajoutera à cela les crétins inutiles que sont les chroniqueurs de Cyril Hanouna et compagnie..."
Pour rappel, à la suite de la diffusion de Dossier tabou fin septembre dernier, Enora Malagré (36 ans) avait qualifié Bernard de la Villardière de "menteur" en plateau. Une critique qui n'était pas passée inaperçue et qui avait valu à la jolie blonde un post Facebook sans concession de la part du journaliste. "Parmi les crétins décérébrés qui me mordillent les mollets depuis quelques jours, elle figure en pièce de choix. Enora Malagré donc et son contentement d'elle-même. L'expression de la bêtise rendue arrogante par le simple effet de l'exposition télévisuelle", avait-il notamment publié.