Depuis son sacre de Miss France en 2012, Delphine Wespiser en a fait du chemin ! Elle est aujourd'hui une personnalité incontournable du petit écran, ayant participé à diverses émissions. La belle brune continue sur sa belle lancée en ce début d'année 2025 et apparaît au casting de The Island chaque mardi soir sur M6. En parallèle, elle sera à l'antenne sur W9 les mercredis soirs, en seconde partie de soirée, pour présenter L'île de la tentation.
Purepeople.com a eu l'occasion de s'entretenir avec la pétillante brunette. A notre micro, elle fait notamment le bilan de son aventure très difficile dans The Island - marquée par un grand manque de nourriture et beaucoup de crises de larmes.
Vous êtes actuellement au casting de The Island. Pourquoi avoir accepté d’y participer ?
Parce que j’adore me lancer des défis, j’adore aller toujours plus loin et j’adore les projets fous, les personnalités flamboyantes, tout ce qui est coloré et forcément quand on m’a proposé de faire une émission de survivalisme, qui est un projet incroyable, un projet fou, je voulais carrément être de la partie !
Comment s’est passée votre aventure ?
Franchement, j’ai beaucoup souffert. J’étais dans un bon mood la première demi-journée et ensuite, quand j’ai capté qu’il n’y aurait pas de mangues, de papayes ou de bananes dans la forêt, je me suis dit que ça allait être difficile. Alors qu’au départ je me disais ‘trop cool, je vais me faire une semaine de cru, de légumes, je m’imaginais des smoothies, de la purée de fruits…’. Mais pas du tout en fait ! Dans la jungle là-bas c’est comme si vous alliez vous promener dans la forêt de Vincennes ou de Boulogne, il n’y a rien en fait ! Pas de fruits, pas de légumes donc on n’a quasiment rien mangé si ce n’est des noix de coco échouées. Moi j’enlevais la chair et je la mettais dans mon petit sac pour faire des distributions le lendemain ou le surlendemain sauf qu’en fait avec la chaleur, elles pourrissaient. Avec la machette, on enlevait la moisissure qu’il y avait dessus et sinon on grillait au feu les morceaux et ça passait. Mais au bout de cinq jours, noix de coco pourries/grillées, c’est noix de coco pourries quand même. Et donc on a arrêté et on ne mangeait presque rien.
Vous êtes en plus végétarienne et n'avez donc pas mangé d’animaux.
Oui, au bout d’un moment, ils ont réussi à capturer des petits poissons ou grenouillettes mais moi, non, je ne vais pas manger ça. Mais c’était horrible de les voir les tuer, j’ai pleuré. Ils étaient tous contents de manger ça, et moi je ne faisais que pleurer.
Qu’est-ce qui a été le plus dur pendant votre aventure ?
C'est intéressant parce qu'il y a des profils comme Lucie (Bertaud, ndlr) qui souffrait de la soif, c’est ça qui la mettait KO. Daniela (Capone, ndlr), elle, souffrait du manque de sommeil. Terence (Telle, ndlr), lui, c’était plus le confort et l’hygiène. Et moi, je devenais folle quand je ne mangeais pas. Et petit à petit, les jours avancent, on est de plus en plus nerveux, au bout de notre vie.
Pierre-Ambroise Bosse a été mon pilier
Comment s’est passée la vie sur l'île avec les autres participants ?
J’étais très heureuse d’être avec Nathalie Marquay, on était les twins là-bas et c’était très important d’avoir un repère émotionnel pour ne pas se sentir seul. Et on découvre qu’avec les autres, on dure plus longtemps et on va plus loin. Pierre-Ambroise (Bosse, ndlr) a aussi été mon pilier, c’est lui qui me donnait de l’eau quand j’oubliais de boire ou qui me remontait le moral. Tout le temps, il était là pour me pousser et me faire avancer. Mais sinon, je me suis entendue avec tout le monde.
Julien Cohen notamment apparaît dès le départ assez directif. Cela a-t-il été compliqué avec lui ?
Non, ça ne m’a pas dérangé mais j’ai trouvé ça humainement intéressant parce qu’il y a les gens qui s’imposent meneurs et il y a les gens que les autres proclament meneurs. Ce qui était intéressant, c’est que Julien s’est auto-proclamé meneur et la mayonnaise ne prenait pas forcément. Et puis, on a un Pierre-Ambroise par exemple qui n’a rien demandé mais qu’on a placé en meneur naturellement.
Quelle est la première chose que vous avez faite en rentrant ?
C’est de tout de suite aller prendre une douche, laver mes vêtements, me brosser les dents, mettre du parfum… Des petites choses dont on ne se rend pas compte mais quand au bout de dix jours on sent la forêt, une douche chaude c’est fou ! Là-bas, pour se laver, c’était compliqué parce que dans la mer il y avait des méduses. Alors, parfois, on se disait qu’il valait mieux ne pas se laver. Et puis bon, pas de brosses à dents… C’était vraiment à la sauvage !
Vous êtes aussi une nouvelle fois attendue à la présentation de "L’île de la tentation". Que pouvez-vous nous dire sur cette nouvelle saison ?
Cette nouvelle saison va être incroyable et beaucoup plus forte que celle de l’année dernière. C’est une saison très attendue quand on voit l’engouement sur les réseaux sociaux. On est très contents ! Tout va aller très vite dans cette saison, parfois à cause de quiproquos ou parfois à cause de natures profondes de l’homme ou de la femme.
Qu’est-ce qui vous plaît dans cette émission ?
J’aime la psychologie du couple, la psychologie aussi interne et individuelle. Quand on va dans cette émission, ce n’est pas toujours seulement pour se demander ce que notre moitié va faire, c’est aussi pour savoir comment on va se comporter nous-même. On a ce petit truc inconscient qui a envie de céder à la tension et qui voudrait dire qu'on était pas si bien que ça dans le couple finalement. Et donc on va voir qu’il y a beaucoup de fragilités à différents niveaux et on arrive bien à s’identifier à ces différents couples.
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