Brooke Mueller, le cauchemar continue : Traînée en justice par une ex-nounou !

Entre la justice américaine et Brooke Mueller, c'est décidément une histoire sans fin. Confrontée à la rocambolesque et épineuse question de la garde de ses jumeaux Bob et Max (4 ans), l'ex-femme de Charlie Sheen (sortie récemment de sa 21e cure de désintoxication) vient en effet de se retrouver sous le coup d'une plainte émanant, cette fois-ci, d'une ancienne nounou qui l'accuse de maltraitance et lui réclame la modique somme de 10 millions à titre de dommages et intérêts.

Dans les documents obtenus par le site TMZ, cette dernière, répondant au nom de Norma Lavizzo assure avoir travaillé pas moins de 40 heures par semaine en tant qu'employée de Brooke Mueller au cours des quatre dernières années. La plaignante prétend avoir été d'astreinte pour les jumeaux de façon souvent continue et n'avoir, parfois, pas touché un seul centime pour ses services.

D'après Norma Lavizzo, le rythme était tel qu'elle était dans l'incapacité de faire une pause, pour déjeuner ou tout simplement pour se reposer. Aujourd'hui, la nounou réclame à Brooke Mueller son dû : la somme de 10 millions de dollars ayant été fixée rapport à un voyage de quatre jours à Miami durant lequel Norma Lavizzo affirme avoir travaillé sans interruption.

À Hollywood, ce genre de poursuite n'est cependant pas si rare que cela : il y a peu, c'est Alanis Morissette qui a dû faire face à une plainte de ce type. Brooke Mueller rejoint donc cette drôle de liste des célébrités accusées de ne pas payer leurs employés. Mais comme le précise TMZ, Norma Lavizzo n'est pas exactement en passe de remporter l'affaire puisqu'elle aurait signé un document annulant toute réclamation fiancière postérieure à la fin du contrat. Par ailleurs, selon des informations du site, Norma Lavizzo n'était pas la seule nounou embauchée pour s'occuper des turbulents Bob et Max (dont la garde est depuis revenue au frère de Brooke Mueller après la renonciation de Denise Richards), ce qui signifie qu'elle n'était en réalité sans doute pas constamment d'astreinte.