Sébastien Cauet est visé depuis le samedi 18 novembre 2023 par une plainte pour viols, déposée par une femme de 25 ans prénommée Julie. L'une de ces agressions aurait été commise quand elle avait 16 ans. L'animateur aurait notamment exigé une fellation, apprenait-on dans l'un des témoignages de la plaignante recueilli par L'Obs, qui a révélé cette plainte en premier. Elle est ensuite revenue sur l'affaire dans Touche pas à mon poste, face à Cyril Hanouna.
Cauet, qui a vu son émission habituellement diffusée sur NRJ être arrêtée depuis (jusqu'à nouvel ordre), "conteste totalement" ces accusations, vient d'expliquer ce mardi à BFMTV l'un de ses avocats, Maître Simon Clemenceau. "On a constaté que les accusations provenaient de comptes Twitter anonymes, qui sont réputés pour répandre de fausses accusations sur des personnalités. On a aussi constaté que les accusations portées contre notre client se fondaient sur des captures d'écran qui sont des faux. C'est aussi l'objet de la plainte en faux qui a été déposée", poursuit-il.
Avant de revenir sur les "multiples incohérences dans les trois prises de parole de la plaignante, sur différentes émissions, sur Internet, sur YouTube, sur les réseaux sociaux avec de multiples contradictions". Maître Simon Clemenceau révèle également à la chaîne des incohérences qui porteraient sur "l'âge qu'elle avait, la date, les lieux et même les faits qu'elle reproche". Des incohérences déjà évoquées par Gilles Verdez il y a quelques jours dans TPMP, alors qu'il venait de s'entretenir avec la compagne de Cauet, Nathalie.
Maître Simon Clemenceau indique enfin que Sébastien Cauet a de son côté apporté des "éléments matériels" qui "démontrent formellement qu'un groupe de personnes ont voulu pour obtenir de l'argent, manipuler des personnes pour porter de fausses accusations contre lui". Il a, avec l'autre avocat de l'animateur déposé plusieurs plaintes, la première, dès le 17 octobre, pour harcèlement moral et diffamation. La dernière remonte à hier seulement, une plainte pour "tentative d'extorsion de fonds en bande organisée, dénonciation calomnieuse, faux et usages contre personnes non dénommées".
D'après nos informations, les éléments matériels remis à la justice sont confondants...
Sébastien Cauet reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu'à la clôture de ce dossier.