Charlene de Monaco : La coupe ratée de sa fille Gabriella, un "acte de révolte" ?

On a connu Gabriella de Monaco toujours impeccable, parfaitement apprêtée, faisant la fierté de son papa le prince Albert de Monaco. Alors quand, le 25 août, elle est apparue sur une photo de retrouvailles avec sa mère Charlene en Afrique du Sud, les cheveux étrangement coupés, cela a suscité quelques remarques...

Dans les pages de Gala, l'étonnante coiffure de Gabriella (6 ans) a été analysée par l'ostéopathe liégois Roger Fiammetti, spécialiste du langage émotionnel du corps. Ce dernier n'a pas manqué de recontextualiser la photo partagée par la princesse Charlene, laquelle est retenue en Afrique du Sud depuis des mois, loin de Monaco et de ses enfants, officiellement pour raison de santé... "Les enfants ne supportent pas d'être séparés de leur mère et l'angoisse de séparation peut se manifester par de l'anxiété", tient-il à préciser.

Roger Fiammetti a ensuite apporté deux explications possibles à la coupe de Gabriella, qui s'était coupée les cheveux elle-même avant que sa maman n'essaye tant bien que mal de "rattraper" les dégâts comme elle l'avait expliqué sur sa publication Instagram. La première hypothèse serait liée à "un acte de révolte et de colère inhérent à la longue séparation qu'elle doit subir sans l'accepter, un geste de colère afin de motiver le père à la conduire auprès de sa maman." Si tel était le cas, cela valait le coup d'avoir une frange atroce puisque Gabriella a pu retrouver sa maman après une longue séparation.

Mais l'ostéopathe avance aussi une autre option. "L'acte de la petite princesse pourrait également être motivé par le principe de loyauté, par la volonté de ressembler à sa mère à travers une coupe. Ce geste est certainement un moyen de créer le lien avec sa maman en lui ressemblant, en s'identifiant via le même hair code", dit-il, évoquant ainsi la coupe de cheveux de Charlene, raccourcie et à la garçonne. Heureusement, le jeune Jacques de Monaco n'a lui pas touché à un seul de ses cheveux !

Gala, édition du 2 septembre 2021.