Moins de quatre mois après avoir donné naissance le 17 décembre 2013 à son premier enfant, Raphaël, fruit de ses amours avec Gad Elmaleh, Charlotte Casiraghi a renoué ces derniers jours avec sa carrière de cavalière de compétition.
Formée dès le début des années 2000 par la famille Rozier, connue comme le loup blanc dans le milieu, et devenue depuis cinq ans une figure coutumière des rendez-vous pro-am disputés en France, la fille de la princesse Caroline de Hanovre était en lice à Cagnes-sur-Mer lors de la 1re édition du GPA Jump Festival, organisée du 25 mars au 6 avril 2014 par l'association Cagnes Equi Events sur l'hippodrome de la Côte d'Azur, tout au bord de la grande bleue. L'événement, qui doit tenir sa prochaine édition dès l'automne 2014, peut se féliciter d'avoir enregistré la participation de personnalités aussi célèbres que Charlotte Casiraghi ou Guillaume Canet, autre tête d'affiche people du rendez-vous, qui poursuivait dans les Alpes-Maritimes son retour déterminé dans le monde des compétitions hippiques.
Relancé dans sa passion de jeunesse par le tournage du film Jappeloup, qui a non seulement été très bien accueilli par le public mais a également permis à l'acteur de reprendre la carrière de cavalier qu'il avait abandonnée après une blessure, Guillaume Canet était en piste dès le 29 mars, tout comme Charlotte Casiraghi. Ambassadrice Gucci depuis 2010 sur le circuit, la Monégasque de 27 ans avait visiblement très à coeur de se remettre en selle après son accouchement, puisqu'elle montait vendredi 29 (Laure Manaudou et son frère Florent, dont la chérie concourait, étaient dans le public) et même samedi 30 mars au matin, à quelques heures seulement du prestigieux Bal de la Rose au Sporting de Monte-Carlo, où elle a rejoint en célibataire sa mère la princesse Caroline et son oncle le prince Albert II.
Samedi 5 avril, Charlotte Casiraghi, de retour sur l'hippodrome de Cagnes qui a accueilli près de 90 épreuves dans les carrières Ourasi et Seabird, a connu quelques difficultés avec sa monture, essuyant deux refus lors de son passage, sous l'oeil de son entraîneur Thierry Rozier. Mais le plaisir de fouler à nouveau la piste devait suffire à son bonheur.