Sophie Winkleman, épouse de son cousin Freddie Windsor, confiait récemment combien le prince George était un petit garçon futé et en avance sur son âge, mais le prince William ne laisse à personne d'autre le soin de dire du bien de sa fille, la princesse Charlotte. Même s'il se prépare à quelques moments délicats dans le futur...
En plein tournoi de rugby des VI Nations, le duc de Cambridge a fait quelques confidences sur sa vie personnelle vendredi dernier, lors d'une rencontre avec des rugbymen blessés et leurs proches organisée par le Welsh Rugby Charitable Trust au Principality Stadium (ex-Millennium Stadium) de Cardiff, en préambule à la réception du XV de France. S'il s'est très tôt "inquiété" du style déménageur de son fils George (2 ans et demi), un rugbyman en puissance, le papa de 33 ans a confié qu'il y avait de l'animation à la maison avec ses deux bambins : "Pas encore d'os cassés, mais ils s'y emploient ! Ils cavalent partout, poussent des objets, sautent. S'il vous plaît, dites-moi que ça se calme après !", a-t-il détaillé, au grand amusement de son auditoire.
Toutefois, la princesse Charlotte de Cambridge, qui aura 1 an au mois de mai, a aussi les attributs d'une petite fille, et pas seulement ceux d'un bébé avide de découvertes : "Elle est très facile à vivre, très douce", dit William. Lequel n'a heureusement pas l'audace de croire qu'il en sera toujours ainsi : "Très douce... Mais tous les pères vous diront 'attends de voir, quand elles arrivent à 9, 10, 11 ans, elles font n'importe quoi'. Je m'y prépare, il va y avoir un peu de bazar", poursuit-il.
Entre garçons, ce n'est pas triste non plus, cela étant, et, avec son frère Harry, William a dû en faire voir de toutes les couleurs à leur père le prince Charles. Au cours de la réception de vendredi, on n'a pas manqué de lui parler de leur rivalité en matière de rugby, surtout après le Mondial catastrophique du XV de la Rose, au grand dam du prince Harry, supporter inconditionnel de l'Angleterre : "Oui, ne vous en faites pas, nous avons eu quelques conversations intéressantes", a assuré en riant le duc de Cambridge quand on lui a demandé s'il avait chambré son frère. William, lui, encourage l'équipe du pays de Galles, et il a pu d'ailleurs savourer dans la soirée le succès du XV du Poireau aux dépens de la France. "Pour avoir vécu et travaillé au Pays de Galles pendant quatre ans, a rappelé celui qui est parrain de la fédération Welsh Rugby Union, je suis enchanté de revenir. Quand l'hymne gallois retentit, vous savez que vous êtes à Cardiff." Quelques jours plus tôt, William était déjà de retour en terres galloises avec son épouse la duchesse Catherine, ravis de retrouver l'île d'Anglesey où ils ont tant de bons souvenirs.