Fin juillet, Christine Bravo faisait un nouveau passage dans l'Hexagone, elle qui a décidé d'aller vivre en Corse tout en gardant sa péniche à Paris. Mais, cette fois, pas d'avion : un voyage en bateau cargo à la place ! Mal lui en a pris puisque la climatisation était en panne et elle a vécu 12 heures de traversée dans le chaos. Elle a poussé un coup de gueule car la compagnie en question n'a proposé aucun dédommagement aux passagers n'ayant pas fermé l'oeil de la nuit. Qualifiée de riche - alors même qu'elle a une petite retraite -, l'ex-vedette du petit écran a réagi.
C'est de nouveau sur Instagram que Christine Bravo, depuis arrivée dans la capitale et à la rescousse des plantes de sa péniche, a pris la parole. L'ancienne animatrice de Frou-Frou a posté la capture d'un message qu'elle a rédigé après avoir été attaquée pour son coup de gueule. Se disant heureuse des échanges souvent positifs avec ses abonnés, elle a toutefois mal vécu de tomber sur des haters... "Ces jours-ci, j'ai vu passer des commentaires injurieux, des propos hors la loi. Des menaces et des saloperies à peine voilées", a-t-elle écrit, espérant qu'Instagram ne devienne pas "comme Twitter, une tribune populiste". La star expliquait dans ce premier message avoir été qualifiée de riche se plaignant de sa situation vécue en mer et cela l'a beaucoup agacée. "Ce bashing de la classe moyenne est l'instrument favori des cons depuis toute l'éternité", a-t-elle ajouté, assurant n'avoir voulu que mettre en lumière l'arnaque dont elle estime avoir été victime tout comme l'ensemble des passagers du bateau.
Christine Bravo, qui s'est récemment mariée à l'homme d'affaires Stéphane Bachot, a ensuite posté un second message, allant jusqu'à brandir une menace si la situation perdure : ne plus permettre à ses abonnés de poster de commentaires sous ses publications et ainsi mettre fin à leurs échanges. "Au départ, ce message n'était qu'une réponse au commentaire d'une abonnée, après la traversée en bateau (Le Monte d' Oro de Corsica Ferry) de l'île Rousse, en Corse à Marseille, avec 500 passagers victimes d'une panne de climatisation ET de ventilation en pleine canicule. Je m'étonnais, à juste raison, que la compagnie n'ait pas daigné proposer un dédommagement aux passagers des cabines, qui avaient payé pour un service dont elles n'ont pas bénéficié. Ils ont tous plus ou moins campé, sur le sol de leur cabine avec la porte ouverte sur le couloir, ou dans les coursives, ou sur les ponts. C'est ce que j'appelle une arnaque (...) Rassurez-moi, Instagram n'est pas devenu un déversoir de hargne, minable et populiste, comme l'est devenu Twitter que j'ai déserté...ou si ?", s'est-elle d'abord interrogée.
Celle que l'on retrouve ponctuellement dans Les Grosses Têtes de RTL a ajouté ne pas avoir "envie de faire comme mon pote @stephaneplaza.off ou Karine Le Marchand, qui ont désactivé les commentaires"...