Clotilde Courau avec sa fille Vittoria : troublante ressemblance dans un décor de rêve

Vittoria de Savoie est une princesse pas comme les autres. La fille aînée de Clotilde Courau et d'Emmanuel Philibert de Savoie peut être fière de sa grande carrière de mannequin. Agée de seulement de 19 ans, elle a déjà tout d'une grande. Première femme héritière de la couronne italienne, Vittoria de Savoie a rejoint la prestigieuse agence Karin Models. Et une chose est sûre, elle peut compter sur le soutien indéfectible de ses deux parents. Notamment, sa maman, Clotilde Courau qui est présente à chaque événement important pour sa fille. Ainsi, ce vendredi 5 mai 2023, mère et fille ont passé un beau moment de détente lors du défilé de la maison Emilio Pucci, qui sous la direction artistique de Camille Miceli.

Vêtue d'une jupe de la marque italienne, reconnaissable avec ses magnifiques couleurs vives, Vittoria de Savoie pose fièrement aux côtés de sa maman, souriante. Et une chose est sûre : ce cliché dévoilé en story Instagram de la jeune femme est quelque peu troublant. La raison ? La forte ressemblance entre les deux femmes. Tout aussi resplendissantes l'une que l'autre, elles possèdent des points communs physiques indéniables. Ainsi, c'est lors d'un moment mode que Clotilde Courau et Vittoria ont pu passer un agréable moment. D'autant que ce défilé organisé à Florence était une véritable réussite. "Je suis très heureuse de prendre la direction artistique de la Maison Emilio Pucci, une marque florentine qui, depuis plus de 70 ans, célèbre la joie et l'art de vivre à l'italienne. C'est un honneur pour moi de contribuer à la belle histoire de cette Maison italienne", a scandé Camille Miceli, la nouvelle directrice artistique.

Une nouvelle fois, Vittoria de Savoie ne cesse de se faire remarquer avec sa silhouette longiligne et ses talents de mannequin. Et ses deux parents ne seront jamais un frein à sa carrière, comme l'indiquait Emmanuel Philibert dans Point de vue en 2020 : "Nous souhaitions, Clotilde et moi, que notre fille aînée se sente libre, et surtout libre de dire ce qu'elle pense. J'ai senti chez elle un peu d'appréhension - je dois dire que j'ai moi-même été impressionné par l'ampleur prise par tout cela en Italie. Le soir de l'annonce, elle est venue me voir et m'a dit : 'Papa, je ne m'attendais pas à tout ça, quelle responsabilité ! Il faut que j'étudie encore davantage, il faut que je sois prête'."