Il n'est plus à présenter ! Voilà plusieurs décennies que Dany Boon enchaîne les projets sur grand et petit écran. A tout juste 57 ans, l'ex-compagnon de Judith Godrèche n'a pas fini de nous émerveiller avec son talent et son immense passion pour le 7e art. Ce samedi 4 novembre 2023, l'heureux papa de cinq enfants sera interviewé par l'incontournable équipe du Papotin pour France 2. Face caméra, l'artiste va aborder en toute transparence d'innombrables sujets axés sur sa carrière ou sa vie privée.
Auparavant dans les médias, Dany Boon a plusieurs fois levé le voile sur son enfance qui n'a pas été des plus simples. Etant le fruit d'une relation entre un Algérien et une Française, celui qui a retrouvé le sourire dans les bras de Laurence Arné a souffert de "racisme" au sein de sa branche maternelle. "C'était compliqué (ndlr pour la famille de (sa) mère qu'elle se marie avec une personne d'Afrique du nord). Je n'ai pas connu mon grand-père, il y a une partie de ma famille maternelle que je n'ai pas connue parce que quand ma mère a rencontré mon père qui venait de Kabylie, d'Algérie, ils ont rejeté ma mère. Elle était enceinte de moi", a indiqué le brillant comédien.
Dany Boon "foutu dehors" par son grand-père maternel
Dans la foulée, Dany Boon a aussi abordé un autre moment très marquant de son existence. Voulant malgré tout connaître les parents de sa mère durant sa jeunesse, ce dernier a été confronté à un terrible rejet de leur part. "J'ai vu un peu ma grand-mère en cachette mais c'était très compliqué et je n'ai pas connu mon grand-père", a ajouté le principal concerné non sans émotion. Et de compléter : "Je suis allé le voir quand j'avais 14 ans, je suis allé chez lui pour le voir et il m'a foutu dehors... Il m'a claqué la porte au nez. Il n'a pas été très très gentil".
Dans un bouleversant numéro de Sept à huit sur TF1 en 2021, Dany Boon qui s'est littéralement épanoui en choisissant la voie de l'humour, en avait dit davantage quant à la triste histoire de sa maman. "Pour elle ça a été très difficile de vivre ce rejet. J'ai des souvenirs qui sont des scènes de film... On est allé au mariage de mon oncle et elle n'avait pas le droit de traverser la rue, avait alors expliqué l'acolyte de Kad Merad. Ils sortaient de l'hôtel de ville et on était sur le parking en face (...) et ma mère pleurait. Elle voyait son frère se marier, elle n'avait pas le droit de traverser la rue." Un triste épisode qui l'a longtemps hanté : "En voyant ma mère souffrir, je me suis dit 'faut que je la fasse rire pour qu'elle aille mieux'. Le rire a été réparation pour tout, et à chaque fois..."