Image du film Les Petits Princes avec Eddy Mitchell© EuropaCorp
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La scène ? Eddy Mitchell a déjà tiré sa révérence, ne voulant pas, à 71 ans, vieillir sur scène. Il s'autorise néanmoins des exceptions, comme pour chanter avec son ami Johnny Hallyday, lors de son concert à Bercy le 14 juin. Le rockeur qu'il est se fait néanmoins plaisir au cinéma. Dans Le Journal du dimanche, il revient sur son rôle de coach d'un centre de formation pour jeunes footballeurs dans Les Petits Princes de Vianney Lebasque.
"J'ai aimé faire ce film sur des mômes qui viennent de banlieue, qui ne sont ni des dealers ni des braqueurs, qui ne volent pas le sac des petites vieilles. Ce sont des sportifs en herbe dont l'idéal est de devenir le prochain Zidane ou Messi. Cette histoire ouvre les portes de l'espoir. Ça parle d'adolescence et de rêves, c'est finalement un conte de fées. J'y incarne un vieux ringard d'entraîneur qui fait sûrement sa dernière prestation."
Avec son franc-parler, Eddy Mitchell précise bien qu'il n'est pas là pour transmettre aux nouvelles générations : "Je ne suis pas postier." Cependant, il est d'accord pour parler de cette jeunesse qui le touche : "On dit que les riches sont partis de ce pays, beaucoup de jeunes s'en vont aussi. Si j'avais leur âge, j'en aurais peut-être envie. Ce n'est pas la gauche qui est en cause. C'est le système politique français. On est tous très bien protégés. Tant mieux, mais à un moment, il faut quand même aller travailler."
Après Les Petits Princes, on le retrouvera en septembre dans Le Grand Départ de Nicolas Mercier avec Pio Marmaï et Jérémie Elkaïm. Puis, il sera sur l'affiche du nouveau long-métrage de Claude Lelouch, au côté, tiens, de son ami Johnny Hallyday. Intitulée Salaud, on t'aime, cette comédie dramatique compte également sur le talent de Sandrine Bonnaire.
"Les Petits Princes", en salles le 26 juin
"J'ai aimé faire ce film sur des mômes qui viennent de banlieue, qui ne sont ni des dealers ni des braqueurs, qui ne volent pas le sac des petites vieilles. Ce sont des sportifs en herbe dont l'idéal est de devenir le prochain Zidane ou Messi. Cette histoire ouvre les portes de l'espoir. Ça parle d'adolescence et de rêves, c'est finalement un conte de fées. J'y incarne un vieux ringard d'entraîneur qui fait sûrement sa dernière prestation."
Avec son franc-parler, Eddy Mitchell précise bien qu'il n'est pas là pour transmettre aux nouvelles générations : "Je ne suis pas postier." Cependant, il est d'accord pour parler de cette jeunesse qui le touche : "On dit que les riches sont partis de ce pays, beaucoup de jeunes s'en vont aussi. Si j'avais leur âge, j'en aurais peut-être envie. Ce n'est pas la gauche qui est en cause. C'est le système politique français. On est tous très bien protégés. Tant mieux, mais à un moment, il faut quand même aller travailler."
Après Les Petits Princes, on le retrouvera en septembre dans Le Grand Départ de Nicolas Mercier avec Pio Marmaï et Jérémie Elkaïm. Puis, il sera sur l'affiche du nouveau long-métrage de Claude Lelouch, au côté, tiens, de son ami Johnny Hallyday. Intitulée Salaud, on t'aime, cette comédie dramatique compte également sur le talent de Sandrine Bonnaire.
"Les Petits Princes", en salles le 26 juin