Geri Halliwell en couverture du magazine Hello! à l'occasion de son 40e anniversaire et de ses vacances dans le sud de la France. Août 2012.
Deux jours après la cérémonie de clôture des Jeux olympiques, Geri Halliwell et sa fille Bluebell Madonna se sont envolées pour le Sud de la France. C'est à l'occasion d'une sortie en yacht que la chanteuse a reçu nos confrères du magazine anglais Hello! pour un long entretien. Alors qu'elle vient de fêter son quarantième anniversaire, l'indomptable Spice Girl vit un rêve éveillé auprès de sa prometteuse fillette.
Quand il s'agit de sa famille, Geri Halliwell est intarissable. Pour Hello!, elle révèle que chanter à la cérémonie de clôture était bien plus qu'une occasion de célébrer son pays ou de retrouver les Spice Girls. Le 12 août est en effet la date d'anniversaire de son défunt père : "J'avais 6 ans quand il m'a emmenée voir un agent. Il voulait faire de moi la nouvelle Shirley Temple. Mon père a toujours voulu que je sois une star et lorsque j'étais adolescente, il m'emmenait passer des auditions. Malheureusement, il est mort six mois avant les Spice Girls. Chanter aux Jeux olympiques pour son anniversaire, c'était très fort, poignant."
Maman d'un petite fille de 6 ans, Geri Halliwell a à coeur de la laisser grandir comme elle l'entend : "Je sais que tous les parents sont fiers de leur enfant, mais elle est vraiment adorable et je suis comblée. C'est comme de s'occuper d'une plante, quand les premières fleurs arrivent, on est sous le charme. En la regardant, je me dis : 'Waouh, je l'ai aidée à se forger cette personnalité !'. J'essaie de respecter ce qu'elle est, de ne pas lui imposer ce que j'aimerais qu'elle soit." Geri Halliwell confie ne pas avoir de nounou, pour ne rien manquer de Bluebell. Plus elle grandit, plus la chanteuse se considère comme un guide pour sa fille. Et ça lui réussit : "Bluebell s'en sort super bien l'école. Elle est très expressive et créative, et elle adore déjà 'performer'. Ma mère me dit qu'elle me ressemble. Lorsque j'étais enfant, mes parents n'avait pas les moyens de me payer des cours de danse classique ou de piano, des choses que j'ai adoré offrir à ma fille, mais je ne la force pas. Elle a abandonné le ballet, mais elle adore le violon et la batterie. Et elle passe son temps à chanter les titres de Jessie J ."
Et qu'a pensé la petite Bluebell de la prestation de sa maman aux Jeux olympiques ? La fillette n'a eu qu'un mot : "Génial !"
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