A partir du 13 février prochain, Canal+ diffusera sa nouvelle série : Kaboul Kitchen. Gilbert Melki interprète Jacky, un restaurateur français qui ouvre le Kaboul Kitchen dans la capitale afghane. Très vite, le lieu devient un repère d'expat' et le théâtre des scènes de vie des principaux protagonistes.
A l'occasion de la diffusion de cette "dramédie", Télé 7 Jours (en kiosques le 30 janvier 2012) a interrogé Gilbert Melki. Le héros de la Vérité si je mens ! 3 n'est pas tendre avec son personnage : "C'est un type qui ne jure que par trois mots : argent, argent et argent." Cet ancien journaliste n'a qu'une seule idée en tête en se rendant en Afghanistan : y faire des affaires.
La reconstruction de la ville et le climat tendu dû à la présence des forces armées et aux violences répétées composent la toile de fond de cette série qui prend le parti de l'humour. Mais s'il estime que l'on peut rire de tour, Marc Victor, l'un des créateurs, s'est néanmoins fixé une limite : ne pas rire des militaires français "parce qu'il en meurt encore la-bas".
Au côté de Gilbert Melki, on retrouve Stéphanie Pasterkamp qui joue Sophie, sa fille, Alexis Michalik, photographe qui se rêve reporter mais court les filles, ainsi que Simon Abkarian dans le rôle d'Amanullah, un militaire guignolesque. On retrouve aussi Benjamin Bellecour, compagnon de et père [/article] de sa fille. Il y incarne une tête de la communication qui se retrouve responsable de la communication d'un candidat peu fréquentable.
Kaboul Kitchen, à découvrir dès le 13 février 2012 sur Canal+